Quand Microsoft répond aux moqueries d’Apple
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Sur Internet, il n'est pas rare de croiser sur un forum, les réseaux sociaux ou dans les commentaires d'un quelconque blog, un utilisateur se faisant un devoir de pointer du doigt la moindre faute - de frappe, de grammaire, ou autre -. Selon une récente étude, ces "grammar nazis" sont de parfaits imbéciles.
Si la licorne est aujourd'hui l'animal légendaire le plus emblématique du Net, il semblerait qu'il ait bel et bien existé. Plusieurs scientifiques avaient déjà découvert des fossiles évocateurs, et aujourd'hui, une nouvelle étude réalisée sur un crâne mis à jour il y a peu au Kazakhstan permet d'estimer plus précisément leur extinction.
A maintes reprises nous avons entendu dire que le service Messenger de Facebook pourrait finir par évoluer et ainsi intégrer une plate-forme de paiement. Il apparaît que la rumeur a la dent dure puisque l'application de messagerie pourrait bientôt intégrer un service de paiement mobile, en faisant appel Apple Pay, Samsung Pay ou encore Android Pay.
Pour sa première phase de lancement, la plateforme digitale Inter'Actes axe sa thématique sur les femmes entreprenneures en Afrique francophone, mettant ainsi en valeur le profil et les modèles des femmes entrepreuneures qui ont pu réussir grâce à l'outil technologique, selon son initiatrice Mariam Tendou Kamara.
''L'initiative vise a rendre visibles les parcours de femmes et les réussites de femmes entrepreneures qui utilisent les outils technologiques (…) pour pouvoir se hisser et augmenter leur capacité à être autonome financièrement'', a-t -elle dit au cours du lancement de cette plateforme digitale.
Ce lancement a été marqué par un panel sur le thème : ‘'Madame Digitale : entreprendre au féminin à l'ère du numérique''. Il a été précédé d'une campagne dénommée ‘'Madame Digitale/ She goes digital'', pour communiquer sur l'engagement des entreprises du secteur privé par rapport aux objectifs de développement en faveur de l'égalité des sexes et l'autonomisation économique.
Selon Mme Kamara, il a été constaté ‘'qu'en Afrique francophone, particulièrement en Afrique de l'Ouest, on avait du mal à avoir accès a des financements innovants, les femmes avaient du mal à communiquer et à vendre leur vision et leurs activités''.
Cette plateforme, poursuit-elle, ‘'va réunir un espace d'échange, de réseautage, de service (…) c'est un outil qui permet de faciliter la communication".
Selon elle, "l'idée c'est d'avoir une plateforme digitale mais aussi d'avoir un dialogue pour mobiliser, débattre, appeler les acteurs et faire un plaidoyer pour qu'ils puissent accompagner cette initiative''.
Seynabou Ly Mbacké, ancienne ministre de l'Entreprenariat féminin et des Microfinances, a estimé au cours du panel que cette plateforme ‘'peut contribuer à l'éclosion d'une ère numérique où les femmes auront une place certaine''.
Pour sa part, Yassine Fall, économiste et ancienne directrice de la division économique à ONU Femme, affirme que ‘'les femmes ne sont pas des micro-citoyennes et ne doivent pas être cantonnées à la microfinance. Elle a rappelé que c'est un ‘'grand défi'' pour une femme africaine d'être entrepreneure. Et elle a notamment insisté sur l'importance de l'inclusion mais également du ‘'netwotking'' qui permet d'accroître les échanges entres les femmes entrepreneures.
Mais pou Mme Fall ‘'le changement ne peut se faire que par les populations, par les communautés dans leur propre pays''.
(Source : APS, 31 mars 2016)
Vous êtes une Femme entrepreneure ? Vous avez réussi à concrétiser un projet entrepreneurial grâce aux outils numériques/ TIC et/ou réseaux sociaux ? Vous arrivez à promouvoir la création d'emploi ? Alors cette campagne est pour vous. Lancée par l'agence d'influence en relations publiques, marketing digital & communications Baantou, la campagne #MadameDigitale #SheGoesDigital a pour objectif de mobiliser les acteurs, décideurs et intervenants au sein des secteurs privé et public et celui du développement en vue d'accroitre la visibilité des initiatives, talents et forces créatrices en faveur de l'autonomisation économique des femmes et des jeunes talents. Tout ceci à travers une plateforme dénommée INTER'ACTES.
Dans sa phase de lancement la plateforme se focalise sur l'entreprenariat féminin à travers les TIC et les outils numériques au Sénégal et en Afrique de l'Ouest. Elle a été lance en prélude à la 13ème conférence annuelle du West Africa COM qui se tiendra en Juin 2016 à Dakar.
Selon Mariam Tendou Kamara, directrice adjointe de l'Agence Baantou et initiateur de l'initiative INTER'ACTES
« La mise en place de la plateforme INTER'ACTES découle du constat de la faible visibilité de modèles féminins entrepreneures, commerçantes, des talents émergeants ou en formation, ou plus communément de femmes de tous les jours posant des actes concrets de réussites entrepreneuriales, académiques et socio professionnelles par l'utilisation des TIC et du numérique. Comment aider à faire ressortir les histoires de femmes entrepreneures qui ont su se hisser vers le haut en tirant profit des outils technologiques qu'offre l'ère du numérique ? Ces femmes aux profils et origines divers, toutes battantes, qu'elles soient dans le commerce ou dans l'artisanat, qu'elles soient musiciennes ou stylistes, qu'elles soit vendeuses ou couturières, où sont donc ces « Madame Digitales » qui ont réussi à enjamber le obstacles et saisir les enjeux du numérique pour innover, créer et aller plus loin ? ». Si vous voulez plus d'informations sur la plateforme INTER'ACTES et comment devenir une championne-égérie de la campagne #MadameDigitale #SheGoesDigital, cliquez ici ou envoyer un E-mail à contact@baantou.com ou interactes@baantou.com
(Source : Social Net Link, 31 mas 2016)
Qui ne connait pas le marché Castor de Dakar ? C'est l'une des marchés les plus fréquentés dans la capitale sénégalaise. Maintenant sachez que ce marché existe désormais en ligne. En effet, un jeune entrepreneur Sénégalais a lancé le site en ligne pour permettre aux internautes d'avoir un marché qui les ressemble.
Le site reproduit exactement ce qui se passe au marché Castor de Dakar d'où le slogan « Le marché en ligne ».
« Nous avons juste ajouté les touches de modernité comme la livraison en ligne, le paiement à la livraison qui assurent au client de la conformité de la commande avant le paiement avec un service client disponible 24h/24 et 7j/7, jours fériés et week end inclus » explique son initiateur Alioune Sylla.
Le jeune entrepreneur qui était à l'étranger pour les études est rentré au pays dans le but de contribuer à l'émergence technologique des services au Sénégal. C'est la raison pour laquelle, il a lancé son agence CommunicAgence.
« Avec mon agence et les produits qui arrivent, je souhaite innover, mais toujours dans la simplicité en mettant en place des produits que tout le monde peut en avoir accès facilement et financièrement. J'ai toujours voulu avoir mon propre business » dit-il.
Avec ce nouveau site qui veut s'imposer sur le marché digital, tout le monde pourra faire ses achats de la semaine ou du mois en denrées alimentaires et se faire livrer gratuitement à domicile en quelques clics.
Marche Castor permet aux Hommes ou Femmes qui n'ont pas le temps d'aller au marché de se faire livrer leurs produits au même prix que celui du marché. Un gain de temps et d'économie de carburant.
(Source :Social Net Link, 31 mars 2016)
Le Président du Mouvement des entreprises du Sénégal (Mdes), en compagnie du Bureau Exécutif et du Conseil d'administration, a reçu le Top Management de la Sonatel. En effet, la Sonatel/Orange est venue présenter son projet GNOC « Global Network Operating Center » au Meds et ses programmes afin de recueillir les avis du Président et du Conseil d'administration du Meds.
La Sonatel qui s'est engagée, depuis quelques années, dans un projet de transformation destiné à renforcer sa compétitivité dans le secteur des télécommunications, a rencontré, hier, le Meds pour lui présenter son projet d'externalisation du réseau. Il s'agit du projet GNOC « Global Network Operating Center ». Face au Dream Team du Meds, le Top Management de la Sonatel a d'abord tenu à expliquer que le développement des télécommunications instaure une nouvelle transformation des entreprises du secteur. En fait, plusieurs griefs sont retenus contre la Sonatel car la qualité de son réseau n'est pas toujours au niveau attendu par les clients. Ce n'est pas tout. Les grands constructeurs ont développé une offre performante en matière d'opération de réseau et les concurrents d'Orange bénéficient de ces services et développent des offres innovantes avec une bonne qualité de service. C'est pourquoi, la première société de téléphonie au Sénégal a voulu externaliser ses infrastructures pour s'adapter aux réalités de transformation destinées à renforcer sa compétitivité dans le secteur.
Vantant au Meds les mérites de ce projet de transformation, le Top Management de la Sonatel a souligné que l'externalisation du réseau permettra d'élever la qualité des services aux standards internationaux. Avec ce réseau, la Sonatel jette ainsi les bases d'une mutualisation et pourra pérenniser les activités de ses services au bénéfice des salariés. Entre autres opportunités, le projet Gnoc va renforcer, développer et maintenir les compétences des équipes, améliorer la qualité de service et l'expérience client. Aussi, ledit projet permettra la création d'emplois directs et indirects, le développement de filières d'expertise et de nouvelles opportunités de carrières pour ses cadres du secteur Télécoms/TIC. Il y aura également un meilleur suivi du rythme de l'évolution des technologies par une montée en compétence rapide dans la maîtrise des outils et process des grands équipementiers. Mieux, la Sonatel va renforcer son leadership dans la sous-région en gardant son rang d'opérateur innovant et first mover. Ce n'est pas tout. Il sera question du recentrage sur le service client à travers la mise en œuvre d'actions pour limiter les désagréments clients.
Dans la mise en œuvre de ce projet, Sonatel ne cédera aucune infrastructure. Aussi, pour garantir un succès à ce projet, il a été nécessaire d'œuvrer en vue de la conformité avec la législation et la réglementation en vigueur, l'adhésion des partenaires sociaux et la préservation des acquis des salariés en leur assurant la stabilité de leur emploi et de leurs revenus. Des mesures complémentaires ont ainsi été prises avec l'acceptation du partenaire Huawei qui l'accompagne dans le cadre du BOT pour une meilleure maitrise des outils et process.
Préservation des acquis
Ce « projet de transformation de la Sonatel », a été assimilé par les syndicalistes de la boite à une initiative devant entraîner à une perte d'emploi. Que Nenni ! En effet, la Direction générale de Sonatel s'est engagée dans ce projet à la préservation des acquis des salariés en garantissant « la stabilité de leurs emplois et de leurs revenus, la conformité avec la législation et la réglementation envigueur, l'accompagnement de la politique de création d'emplois de l'État du Sénégal. 34 salariés sont éligibles au départ vers le GNOC sur un effectif de 1.800 avec une mobilité sur la base du volontariat. »
À ce jour, 12 parmi les 34 ont déjà choisis de rejoindre le partenaire Huawei et ont la possibilité de revenir à la Sonatel au terme du BOT. Les personnes parties vont garder les mêmes privilèges qu'ils avaient à la Sonatel. Ne pars que qui veut. Il est donné une garantie pour tout manager d'exercer un poste de management, une garantie d'une mobilité vers le même poste ou équivalent pour les autres et une assurance de tous les avantages actuels (rémunération, fonction, ancienneté, prêts, véhicule de fonction, dispositif, avantages sociaux, médical et santé, etc.)
Huawei en tête du ANO
Prévu pour une durée de 5 ans, ce projet d'externalisation de l'exploitation du réseau d'accès va toucher le Sénégal (qui abritera son siège), le Mali, la Guinée et la Guinée-Bissau. Le Gnoc va aussi regrouper la République Centrafricaine, le Cameroun, le Niger, la Côte d'Ivoire et la République démocratique du Congo (Rdc). Pour conduire ce programme, le Groupe Sonatel a confié la gestion à la société Huawei. Très présent dans beaucoup de structures comme leader en qualité de fournisseur d'infrastructures adaptées aux entreprises, Huawei va diriger le grand projet ANO (AMEA Network optimisation). Au terme du processus de mise en compétition des MSP (Managed Service Partners) ou fournisseurs de services, Huawei a été désigné comme adjudicataire avec la création d'un GNOC sur deux sites à savoir Abidjan et Dakar avec le siège à Dakar. Beaucoup d'opérateurs d'Afrique ont déjà externalisé l'exploitation de leur réseau. Mais pour ce projet, chaque opérateur reste propriétaire de ses infrastructures.
(Source : Rew Mi, mars 2016)
« Ñoo lank ! » Non au néocolonialisme économique ! Le Front National de Salut Public/Moom Sa Reew et Yoonu Askan Wi/Mouvement pour l'Autonomie Populaire ont rencontré le 09 mars 2016, deux ans après leur dernière entrevue, l'intersyndicale des travailleurs de la Sonatel constituée par le Syndicat des travailleurs de la Sonatel (SYTS) et du Syndicat National des Travailleurs des postes et télécommunications-section télécom (SNTPT).
France Télécom a démarré dans notre Sonatel un projet d'externalisation qui jusque-là n'était mis en œuvre que dans ses filiales européennes. Or, notre Sonatel n'est pas une filiale de France Télécom. France Télécom avec ses 42% d'actions de la Sonatel n'est pas propriétaire mais partenaire.
La mise en œuvre de ce projet par France Télécom a pour objectif final de s'accaparer de notre entreprise en passant d'abord par le démantèlement du Groupe Sonatel. Nos compatriotes ont parfaitement raison de parler de braquage organisé.
France Télécom est cette société tristement célèbre par sa politique qui pousse ses salariés français au suicide. Malgré les bénéfices de la Sonatel, la politique de France Télécom a réduit le nombre d'emplois de plus de 2500 à un peu plus de 1600 ; le trafic international des filiales de Sonatel qui passait par le Sénégal a été détourné pour transiter par la France ; c'est France Télécom qui nomme les Directeurs généraux des filiales de la Sonatel et contrôle toutes les directions stratégiques ; France Télécom agit déloyalement en volant des licences à la Sonatel (au Niger, au Cap-Vert, en Mauritanie par exemple)…Tout cela ne suffit pas à France Télécom. La France cherche à consolider sa place en appliquant un plan impérialiste visant à arracher au peuple sénégalais la Sonatel au mépris de la convention de concession de Sonatel qui expire en 2017. Le peuple Sénégalais ne doit pas accepter ce que le Maroc, la Tunisie, l'Egypte et même l'Etat français ont refusé.
Yoonu Askan Wi et Moom Sa Reew dénoncent l'attitude pour le moins complaisante des autorités et appellent les travailleurs de la Sonatel et le peuple à la vigilance et à la mobilisation. Si le régime de Macky Sall a pu signer l'APE que ne ferait il pas d'autre ?
Le caractère stratégique des télécommunications en fait un domaine de souveraineté qu'il n'est pas question pour Yoonu Askan Wi et Moom Sa Reew de céder à la France ou à un autre pays. Nous refusons que le peuple sénégalais et la Sonatel soient l'orange à presser de la France. C'est pourquoi, Mom Sa Reew et Yoonu Askan Wi ont décidé de participer de manière active aux côtés des travailleurs de la Sonatel et de toutes les forces vives à la lutte pour que la Sonatel reste sénégalaise. C'est ce qui explique notre participation à la conférence de presse du 10 mars et l'ajout de nos signatures à la « Déclaration des forces vives pour le patriotisme économique en solidarité avec l'intersyndicale des travailleurs de la Sonatel ».
Mom Sa Reew et Yoonu Askan Wi invitent tous leurs militants à se mobiliser et à participer à mobiliser le peuple sénégalais pour dire à l'impérialisme et à ses collabos locaux : TOUCHE PAS A MA SONATEL ! NON au braquage à la française !
Le « néo colonialisme économique », qualificatif que l'intersyndicale donne au plan mis en œuvre à la Sonatel, est également en cours dans le secteur minier dont les ressources ne profitent qu'à hauteur de 3% au peuple sénégalais, dans le secteur des banques contrôlé par l'étranger, à travers les diktats du FMI et de la Banque Mondiale, les concessions léonines du type de l'autoroute à péage, le franc CFA, la signature de l'accord de partenariat économique (APE)…
En plus d'être syndicale, cette question est éminemment politique. En effet, si France Télécom a osé classer la Sonatel dans son organigramme comme simple filiale au même titre que Orange Côte d'Ivoire, Orange Cameroun, c'est parce que tous les régimes qui se sont succédés ont été mis en place pour pérenniser le semi colonialisme au Sénégal au profit de la France au premier chef. Bien qu'ayant été installé à la tête du pays à la suite du changement du 25 mars 2012, le Président Macky SALL n'a pas constitué d'exception à la règle. L'indulgence complice pour dire le moins qui a prévalu de la part du régime dans le traitement de ce dossier ne le démontre-t-il pas ? C'est pourquoi, Yoonu Askan Wi et Moom Sa Reew saluent la décision de mise en place de l'Alliance pour le patriotisme économique et appellent à renforcer cette initiative qui s'inscrit en droite ligne de l'exigence de matérialisation des conclusions des Assises nationales.
Dès à présent, pour Moom Sa Reew et Yoonu Askan Wi, il convient en conséquence de définir un plan de lutte pour mettre un coup d'arrêt à l'entreprise d'accaparement par la France de notre Sonatel, d'harmoniser nos positions sur la conduite à tenir à la fin de la convention de concession de Sonatel en 2017, de réfléchir sur un projet alternatif de gestion des télécommunications du Sénégal, le Mali, les deux Guinées dans une perspective d'intégration et selon le principe de l'union libre des peuples libres d'Afrique…Mais aussi de prendre en charge les justes et légitimes complaintes et revendications des consommateurs liées à l'amélioration de la qualité et à la baisse des prix des services de la Sonatel. C'est sur le dos des citoyens sénégalais, et de nos frères africains du Mali, de la Guinée Bissau, et de la Guinée que France Télécom réalise ses marges bénéficiaires les plus élevées. Ça Suffit !
Le Front National de Salut Public/Moom Sa Reew et Yoonu Askan Wi/Mouvement pour l'Autonomie Populaire ont rencontré le 09 mars 2016, deux ans après leur dernière entrevue, l'intersyndicale des travailleurs de la Sonatel constituée par le Syndicat des travailleurs de la Sonatel (SYTS) et du Syndicat National des Travailleurs des postes et télécommunications-section télécom (SNTPT).
« Ñoo lànk, ñoo bañ duñu ko nangu. Nootànge lorànge la, duñu ko nangu ».
La lutte continue. Nous vaincrons !
Dakar, le 29 mars 2016
Pour Yoonu Askan Wi, MadièyeMbodj, Porte-parole national
Pour Moom Sa Reew, Malick Noël Seck, Secrétaire général
(Source : Ferloo, 30 mars 2016)
Le spécialiste du démontage d'appareils high-tech a voulu savoir ce qui avait changé entre le kit de développement et la version grand public du casque de réalité virtuelle de Facebook et s'il pouvait facilement être réparé. Réponse en images.
Officiellement ouverte dans la matinée d'hier, mercredi 30 mars à Dakar, la 4ème conférence du Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique (Codesria), sur l'édition numérique, a permis de faire le point sur un certain nombre de défis qui interpellent l'Afrique : le libre accès à un savoir « déprivatisé », sans la contrainte des « barrières financières », pour les étudiants comme pour les chercheurs eux-mêmes, la visibilité des publications de chercheurs africains etc.
La cérémonie d'ouverture officielle de la 4ème conférence du Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique (Codesria) s'est tenue dans la matinée d'hier, mercredi 29 mars dans un hôtel de la place, autour du « mouvement pour le libre accès et l'avenir de l'économie africaine du savoir ».
D'éminents savants, chercheurs et professeurs d'Afrique et d'ailleurs ont honoré cette session de par leur présence, entre partages et échanges pour disent-ils, le « libre accès » au savoir, pièce maitresse du développement d'un pays.
Ce qui passe selon eux par la promotion des nouvelles technologies, pour faciliter à la masse l'accès aux publications et autres résultats de recherches des universitaires africains.
Professeur à l'université nigériane d'Ibadan, M. Ebert reviendra d'ailleurs sur les acquis de son pays en matière de formation d'universitaires et d'accompagnement dans la recherche car dit-il, « les étudiants apportent beaucoup de choses à la recherche », et il faudrait donc leur faciliter l'accès aux différentes publications.
L'enjeu, selon les spécialistes, consiste surtout à « déprivatiser le savoir » pour que tout le monde y ait accès, en plus de faire en sorte que l'on puisse utiliser « un article, le citer sans barrières financières », avoir accès aux journaux numériques entre autres.
Mais c'est aussi important que d'autres savants aient accès aux revues africaines, ne serait-ce que pour une bonne visibilité de ce que font les uns et les autres.
D'où la « Revue des pairs » pour améliorer les choses, à l'image de ce qui se fait en Amérique et un peu partout dans le monde, et de façon à ce que « les référentiels soient en phase avec les normes universelles ».
Ce « trou béant entre l'Amérique et l'Afrique »...
Pour le recteur de l'université du Cameroun M. Thimbeu, « les pays qui ont le plus de savoir sont les plus développés ».
Il ajoute aussi que cette fracture ou « ce trou béant entre l'Amérique et l'Afrique est une rupture dans le domaine du savoir ». Ce qui implique selon lui la « diffusion des innovations du savoir », parce que la plupart des pays africains « ont un programme d'émergence ».
L'heure est à l'investissement dans le savoir, l'Afrique doit impérativement bâtir une économie du savoir pour « émerger », d'abord « produire », ensuite « diffuser via le libre accès », sans oublier l' « appropriation » du savoir par les masses et enfin la « gestion » de la connaissance...
Même si les conditions d'accès ne sont pas toujours réunies selon le secrétaire exécutif du Codesria, Ibrahima Sall, qui pointe du doigt l'accès difficile à l'information scientifique, parce que la « privatisation » du savoir a atteint son summum ».
Pour avoir accès aux meilleures revues, il faut souvent avoir assez d'argent pour pouvoir « s'abonner », ce que le Codesria a très tôt compris, en faisant en sorte que le « savoir reste un domaine public » quand on sait que les recherches sont financées par l'argent public.
C'est dans cette même logique qu'interviendra le directeur de Cabinet du ministère de la Culture et de la Communication, Rémi Sagna, qui soutient qu'à ce grand rendez-vous les « défis ne manquent pas », et qu'il faudrait surtout que les acteurs du secteur puissent se retrouver autour d'une même table, parce qu'il y a de « brillantes publications à promouvoir dans le monde entier », et cette « conférence est une parfaite illustration de ce qui peut être fait ».
Rémi Sagna invitera aussi les chercheurs à poursuivre la recherche, parce que leurs réflexions pertinentes « permettront d'éclairer les décideurs politiques que nous sommes », pour que l'engagement des gouvernants se traduise « en actes concrets ».
Cependant les différents conférenciers ont partagé le fait que la « prudence s'impose par rapport à l'euphorie du libre accès » : « La connaissance est libre mais elle n'est pas accessible », ce qui est un paradoxe, sans oublier que la création de recherches doit être protégée.
La 4ème conférence du Codesria, qui se poursuit jusqu'à ce vendredi 1er avril, rassemble donc des chercheurs venus des pays d'Afrique, d'Asie, d'Europe et d'Amérique.
Sophia Diouf
(Source : Sud Quotidien, 31 mars 2016)
Comme dans plusieurs pays d'Afrique, le débat sur le blocage ou non des applications de Voix sur IP comme WhatsApp, Viber ou encore Skype prend progressivement de l'ampleur en Algérie. Pour couper court aux inquiétudes des consommateurs, Imane Houda Feraoun (photo) la ministre de la poste et des technologies de l'information et de la communication, a déclaré à Algérie Presse Service (APS), le 28 mars 2016 qu' « aujourd'hui, il n'est pas question de bloquer ce type d'applications, car nous n'avons tout simplement pas d'alternative ».
Cependant, la ministre a reconnu que « les choses ne peuvent pas continuer dans ce sens, d'autant que les propriétaires de ces applications n'apportent aucune valeur ajoutée, ni à l'Algérie ni à d'autres pays, car ne versant pas d'impôts et ne contribuant pas au transfert technologique alors qu'ils en récoltent des gains colossaux ». Comme début de solution au différend qui oppose les opérateurs télécoms aux applications de VoIP, la ministre des télécoms a appelé les jeunes algériens à développer des applications similaires purement algériennes qui détourneraient les consommateurs des applications américaines.
« Une fois cet objectif atteint, les opérateurs seront appelés à trouver la formule appropriée en vue de mettre en valeur leurs investissements sur le terrain et concurrencer ces applications », a ajouté Imane Houda Feraoun.
Muriel Edjo
(Source : Agence Ecofin, 31 mars 2016)
Les 67 vendeurs de puces téléphoniques arrêtés la semaine passée, à Dakar, avec 100 000 puces non identifiées ont été jugés, hier, et déclarés coupables. Toutefois, ils ont été dispensés de peine.
Face aux menaces terroristes, les plus hautes autorités policières du pays, de concert avec l'Agence de régulation des Postes et des Télécommunications (Artp), ont décidé d'assainir le milieu de la téléphonie mobile. C'est ainsi que des opérations ont été effectuées la semaine dernière, un peu partout dans la capitale du Sénégal, par les limiers de la Sûreté urbaine de Dakar, du commissariat des Parcelles Assainies et du Commissariat central de Guédiawaye. Les opérations visaient à retirer du marché noir les puces non identifiées. A cet effet, les policiers ont arrêté 67 personnes avec 10 000 puces téléphoniques de Orange, Expresso et Kirène non encore identifiées.
Hier, tout ce beau monde, réparti en groupe de 19, 12, 7 et 29, a été jugé par le Tribunal des flagrants délits de Dakar. Ils ont tous comparu libres et sont rentrés chez eux à l'issue du procès, bien que déclarés coupables. Les vendeurs ont, en effet, été dispensés de peine. Les prévenus étaient poursuivis pour vente illégale de puces téléphoniques et non respect du droit portant sur l'identification des acheteurs et utilisateurs mobiles offert au public. Ils ont tous reconnu les faits qu'on leur reproche comme ce fut le cas, depuis l'enquête préliminaire. Les uns ont soutenu avoir été pris au dépourvu dans leurs magasins, les autres dans la rue car étant des vendeurs à la sauvette.
Le Parquet a jugé les faits constants et a demandé l'application de la loi. La défense a insisté sur la constance des prévenus qui n'ont jamais varié dans leurs déclarations, depuis le début de cette affaire. Selon l'avocat, cela témoigne de « leur bonne foi mais aussi de leur probité ». « Il s'agit de jeunes qui veulent gagner leur vie dignement, mais ils ne savaient pas que leur activité commerciale est prohibée par la loi », a souligné la robe noire. Sur sa lancée, il a suggéré à l'Artp d'offrir des gilets aux vendeurs qui sont reconnus pour éviter dans le futur de pareilles choses. Après avoir rendu sa décision, le juge a conseillé au prévenus d'éviter la vente des puces non-identifiées. D'autant plus que la vente illégale des cartes SIM sur la voie publique est interdite par la loi.
(Source : Leral, 31 mars 2016)
Le Président Macky SALL a réuni le Conseil des Ministres, ce mercredi 30 mars 2016, à 10 heures, au Palais de la République.
(...)
Au titre des textes législatifs et réglementaires, le conseil a adopté :
le projet de loi autorisant le Président de la République à ratifier la Convention de l'Union africaine sur la Cyber sécurité et la Protection des données à caractère personnel.
(...)
(Source : Gouvernement du Sénégal, 30 mars 2016)
Le site internet www.ppp.gouv.sn du ministère de la Promotion des investissements, des Partenariats et du Développement des téléservices de l'Etat sera lancé, le 7 avril prochain à partir de 9 heures, à l'hôtel Radisson Blu, annonce un communiqué transmis à l'APS.
Le lancement officiel se fera au cours d'un atelier de restitution des travaux du consultant qui va présenter les résultats de l'étude d'identification des projets sélectionnés dans la liste restreinte.
Ce site, qui héberge une boîte à outils (PPP toolkits), a été réalisé en collaboration avec la Banque mondiale. La boîte est complète et accessible aux acteurs impliqués dans la réalisation des partenariats publics/privés (PPP).
Ces outils, ajoute le texte, "comprennent de modèles d'analyse économique et d'évaluation financière de projets ainsi que des lignes directrices inspirées des meilleures pratiques en matière de gestion de partenariats public/privé".
Dans sa seconde composante, le projet a permis l'identification et la priorisation d'une liste restreinte de projets à structurer financièrement et juridiquement au moyen des outils élaborés par le consultant, souligne la même source.
(Source : APS, 30 mars 2016)
L’application de messagerie instantanée bénéficie désormais d’un bot conçu par la compagnie aérienne KLM. On peut lui demander sa carte d’embarquement et être prévenu en cas de retard de son avion. Une première application concrète de la future stratégie de Facebook.
Le projet Passdocteur et Karangué lancés successivement par les jeunes entrepreneurs sénégalais Moussa Traoré et Mamadou Sall ont été nominés au Challenge App Afrique de RFI après une rude sélection de plus de six cent candidatures.
Le projet Passdocteur est destiné aux expatriés Sénégalais, qui donnent l'opportunité de prendre en charge intégralement les frais de santé de leurs proches demeurant au pays.
L'utilisateur se rend sur la plateforme, remplit sa demande de rendez-vous en renseignant la spécialité médicale (Médecin Généraliste, Neurochirurgien, ORL, Cardiologue, Pédiatre…), la date, l'heure, la ville et les coordonnées du patient.
Une fois le paiement en ligne effectué, le médecin est informé instantanément du RDV et le proche reçoit son code Pass Docteur via SMS, qu'il fera valoir pendant la consultation. Le concepteur propose aussi un modèle économique qui s'imbrique avec Passmedecin
Qui est Moussa Traoré
Moussa Traoré est un véritable serial entrepreneur. Il a mis en place plusieurs projets dont passcourses qui permet à la diaspora de faire le shopping livré à sa famille au Sénégal, mais également aux personnes qui résident au Sénégal de commander en ligne et de payer à la livraison. Grâce à son projet Moussa a été lauréat du Prix Orange de l'Entrepreneur Social en Afrique 2014.
Karangué, une application pour les consultations prénatales et postnatales
S'agissant du projet Karangue de Mamadou Sall, il s'agit d'un système d'alerte automatique qui vise à alerter aux parents les rendez-vous de vaccination des enfants, la date des visites prénatales et postnatales des mamans via le SMS et la voix à travers les langues locales ( Wolof, Pulaar, Diola, Sérère, Mandingue et Français) avec des icônes de la musique sénégalaise ( Youssou Ndour, Baba Maal, Coumba Gawlo …). Le projet est finaliste du Challenge Startupper de l'Année par Total
Pour rappel, les 10 projets venant de la République du Congo, de la République démocratique du Congo, du Sénégal, du Cameroun, du Togo, du Mali ainsi que du Burundi ont été choisis par un jury professionnel.
Selon le site RFI, les nominés « recevront l'accompagnement nécessaire de la part de RFI et de ses partenaires afin de faire avancer leurs différents projets qui touchent différentes pathologies comme le paludisme, la psychiatrie, l'ophtalmologie ou encore la santé maternelle »
Trois gagnants seront primés après une présentation de leurs projets au mois de Mai à Dakar.
Pour plus de détails sur les 10 projets cliquez ici
(Source : Social Net Link, 30 mars 2016)
Dans la plupart des pays africains, au moins 90% les abonnés des opérateurs fixe, mobile et internet réunis, sont des clients prépayés.
En pratique ces clients paient en espèce, par mobile money ou de plus en plus via un compte bancaire et reçoivent des unités (crédits téléphoniques) sur un compte virtuel qui leur permet l'utilisation du service fourni par leur opérateur. Pour mener à bien cet exercice de précision, les opérateurs ont désormais une nouvel atout la version 6.4 de PreTUPS (à ne pas confondre avec la plateforme de crowdfunding PretUp), de Mahindra Comviva, qui vient de la lancer.
Une solutions populaires
La solution de rechargement électronique et de gestion du prépayé de Mahindra Comviva s'intègre facilement aux plateforme IN des opérateurs. Selon les statistiques officielles, elle serait déjà installée chez 55 opérateurs dans le monde qui ont un total consolidé d'abonnés estimé à 840 millions de personnes soit un peu plus de 10% de terriens.
Pour , Senior Vice President et Directeur des solutions financières mobiles de Mahindra Comviva « Dans un marché à évolution galopante, les opérateurs télécoms ont besoin d'une plate-forme de recharge électronique évoluée et dynamique. La version avancée 6.4 de PreTUPS est une solution prépayée globale éprouvée de gestion de compte qui permettra à plusieurs opérateurs de suivre le rythme de l'évolution des besoins du marché ».
Les innovations apportées
Par rapport à l'ancienne version (version 6.3), plusieurs nouvelles fonctionnalités sont intégrées. En premier lieu, le module de géolocalisation « Geo-fencing ». La plupart des opérateurs accordent des agrément par zone à leurs distributeurs. PreTUPS 6.4, à l'aide de cartes géographiques intégrées, dresse de véritables murs autour de chaque zone pour éviter les infiltrations. L'opérateur a ainsi une vision globale de ses ventes en temps réel mais surtout il a un outil puissant pour optimiser son réseau et faire une projection sur la demande du marché de façon plus pertinente.
L'aspect temps réel est encore plus perceptible au niveau de la fonction de rechargement de chaîne à chaîne « Auto C2C ». Elle permet des transferts automatiques de crédits de communication entre les masters distributeurs et leurs détaillants en dessous du stock d'alerte afin qu'ils alimentent le marché et évitent la perte de revenus.
Cette plateforme révolutionnaire est aussi programmée pour tout type de services : SMS, data, services à valeur ajoutée, internet, etc. PreTUPS gère efficacement également les programmes de fidélisation des distributeurs. Les bonus et les ristournes prévisionnels sont accessibles par simple requête. Un stimulus dont l'opérateur peut se servir en couplant ce module avec des campagnes push SMS.
(Source : ICT4Africa, 30 mars 2016)
Selon IT News Africa, l'Ethiopie, à travers son ministère de l'Education, a signé un accord avec Microsoft pour la transformation de son système éducatif par les TIC.
L'Ethiopie attend de la société américaine qu'elle promeuve l'accès inclusif au numérique, encourage l'innovation et l'esprit créatif, développe les compétences numériques et améliore les capacités des enseignants locaux.
Pour changer la manière dont les étudiants, les enseignants et les établissements d'enseignement éthiopiens accèdent et transmettent la connaissance, Microsoft va fournir à l'Ethiopie des programmes d'apprentissage en ligne tels que BizSpark, DreamSpark ou encore Kodu Game Lab, des programmes de certification pour les enseignant tels que Imagine Academy, des services de soutien et de consultation, des options de licences abordables. D'après Microsoft, l'Ethiopie rejoint ainsi plusieurs autres pays d'Afrique avec lesquels des partenariats similaires ont été établis. Il s'agit du Rwanda, du Kenya, de l'Ouganda, du Ghana, du Botswana et de la Namibie. La société américaine, à travers ces partenariats, vante un impact sur plus de 13 millions d'étudiants en Afrique subsaharienne.
D'après Ali Faramawy (photo), le Corporate vice-président de Microsoft pour le Moyen-Orient et l'Afrique, « quand nous apportons les TIC dans les classes éthiopiennes, notre objectif est d'aligner nos programmes d'éducation avec les exigences de l'industrie et les demandes des employeurs. Des contenus ciblés et des enseignants habilités jouent un rôle crucial en cela. Bien que les TIC puissent avoir un impact profond sur l'apprentissage des étudiants, cet impact a besoin d'être transmit par d'autres facteurs qui incluent des enseignants qualifiés ».
(Source : Agence Ecofin, 30 mars 2016)
L'Internet Society (ISOC) tiendra en Tanzanie pour la première fois son événement annuel, le Forum Africain sur l'Appairage et l'Interconnexion (AfPIF) annonce un communiqué de l'APO. L'événement aura lieu du 30 août au 1er septembre 2016.
Echanger sur les es opportunités en matière d'interconnexion, de peering et d'échange de trafic sur le continent, tels seront entre autres les grands thèmes au coeur du 7eme forum du genre.
Pour réussir l'événement à Dar Es Salaam, ISOC s'est associée avec l'Association des fournisseurs de services internet de la Tanzanie, (TISPA).
Dawit Bekele, Directeur Régional pour l'Afrique de l'Internet Society attend un débat sur l'amélioration de la connectivité.
« La connectivité Internet en Afrique a augmenté au cours des dernières années, offrant accès à près d'un tiers de la population sur le continent. Améliorer l'interconnexion et l'échange de trafic est devenu encore plus important aujourd'hui car un nombre croissant d'Africains dépendent de l'Internet dans leur vie quotidienne », a expliqué Dawit Bekele.
Le forum vise à créer des opportunités d'interconnexion transfrontalières et de faciliter les discussions sur les défis d'infrastructure Internet africains, y compris la capacité terrestre, le développement des points d'échange Internet (IXP) nationaux et régionaux et le contenu local.
AfPIF a déjà eu lieu au Kenya, au Ghana, en Afrique du Sud, au Maroc, au Sénégal et au Mozambique. L'événement de l'année dernière a réunit 232 participants de 57 pays et une participation en ligne de 978 personnes dans 77 pays différents.
(Source : Réussir Business, 30 mars 2016)
Me Abdoulaye Wade, Ndongo Diao et Moustapha Guirassy seraient sur la ligne de mire du ministre de la Justice, Me Sidiki Kaba. Cette menace serait due à un abandon de créances de l'Artp au bénéfice de Expresso. Abandon survenue après les injonctions du ministre de la Communication et des Télécommunications d'alors, Moustapha Guirassy, alors que Ndongo Diao était Directeur de l'Artp.
Une créance de 8 milliards FCfa accordée par l'Agence de régulation des télécommunications et des postes (Artp) serait en phase d'éclabousser l'ancien président de la République du Sénégal, Me Abdoulaye Wade. « Libération » qui nous livre l'information soutient que le dossier qui émane de l'enquête de la Cour des comptes a déjà été transmis au ministre de la Justice, ce qui pourrait déboucher sur des poursuites judiciaires.
Cette possibilité découle d'une « offrande » de la rondelette somme de 08 milliards de F Cfa faite par l'Agence de régulation des télécommunications et des postes (Artp) dirigée à l'époque par Ndongo Diao, à la compagnie de téléphonie mobile, Expresso. Ce qui traduit les relations « particulières » entre l'ancien régime et cet opérateur de téléphonie.
Et, renseigne le journal, par délibération du 9 janvier 2012, le collège des délégués de l'Artp a ‘béni'' deux forfaitures. Il s'agit de l'abandon de créance de cette instance de régulation sur Expresso Sénégal concernant les factures 2009, 2010 et 2011 relatives aux redevances de faisceaux hertziens (Fh) arrêtées à 8 milliards 12 millions et l'exonération du paiement des redevances de Fh dues au titre des années 2012 et 2013.
Ces créances ont été abandonnées après des injonctions écrites du ministre de la Communication d'alors, Moustapha Guirassy adressées à Ndongo Diao.
(Source : Pressafrik, 30mars 2016)
En 2012, internet avait parodié le refrain de «Call Me Maybe» à l'infini. C'est reparti avec «Run Away With Me». Il y a peu de chances que vous soyez passés à côté de «Call me Maybe» en 2012. Le morceau de Carly Rae Jepsen avait fini en tête des ventes dans ...
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