dimanche 31 juillet 2016

Sénégal : 7 startups présélectionnées pour le World Summit Award 2017

7 startups ont été présélectionnées pour le concours international du World Summit Award 2017 qui se tiendra cette année à Dubaï.

Mais cela n'est qu'une première étape car les projets sénégalais sélectionnés seront présentés lors d'un meetup le 2 août 2016 à la Fondation Konrad Adenauer de Dakar avant la publication des 40 gagnants qui seront sélectionnés par un jury d'experts internationaux durant un processus en ligne à deux tours, et pitchés au Congrès Global du WSA Mobile à Dubai en février 2017.

La sélection pour le Sénégal est la suivante :

Le World Summit Award (WSA) Mobile est une initiative globale qui évolue dans le cadre et en collaboration avec le Sommet Mondial sur la Société de l'Information (WSIS), UNESCO, ONUDI et UNGAID. WSA est le seul évènement TIC qui atteint les communautés TIC dans plus de 178 pays. L'année dernier la plateforme socialnetlink été primée dans la catégorie E-Média et Journalisme.

(Source : Social Net Link, 30 juillet 2016)



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La publicité sur mobile booste les résultats de Google

La publicité sur mobile booste les résultats de GoogleLe groupe Alphabet (Google) a publié ses résultats pour son activité du deuxième trimestre 2016. La société se porte bien avec une forte hausse de ses revenus, notamment grâce à la publicité.



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L'ère des perturbations numériques : Opportunité ou défi pour les gouvernements ?

Tout au long de son histoire, l'espèce humaine a toujours dû s'adapter à un environnement en perpétuel changement. De la période des chasseurs-cueilleurs à la révolution industrielle et des services en passant par l'ère de l'agriculture, les changements et les perturbations ont été constants et permanents. De nos jours, les technologies numériques et l'omniprésente connectivité combinées à d'énormes capacités de stockage en constante évolution ont créé une économie du savoir, déclenchant ainsi de grandes transformations jamais soupçonnées.

En seulement deux décennies, nous sommes passés du Web 1.0 où les créateurs de contenus étaient peu nombreux et essentiellement limités aux webmasters, au Web 2.0 où chaque utilisateur devient un acteur du Web et un créateur de contenus. Nous avons créé plus de données au cours de ces deux dernières années que dans toute l'histoire de l'humanité.

Des technologies de plus en plus avancées dans les domaines de la mobilité, de l'internet des objets, du big data, du cloud computing, de l'intelligence artificielle, de l'impression 3D ou encore de la robotique, favorisent des innovations perturbatrices qui remodèlent nos façons de travailler, de consommer, d'apprendre et de nous divertir, et tout cela à une vitesse exponentielle.

La rapidité à laquelle ces technologies changent nos sociétés et modifient notre façon d'interagir avec les autres provoque ces bouleversements communément appelés perturbations numériques – Digital disruption – et occasionne de nouvelles façons de faire des affaires plus profitables aux consommateurs.

Il n'y a pas encore très longtemps, des capitaux colossaux étaient nécessaires à une entreprise pour atteindre de manière significative la concurrence. Ce n'est plus toujours le cas aujourd'hui, car les innovations « perturbatrices » traditionnelles qui mettaient des décennies à perturber les marchés ont été remplacées par des innovations technologiques dont l'adoption se fait de plus en plus vite. Aujourd'hui, une simple application IPhone peut suffire à perturber une entreprise leader dans son domaine d'activités. Il aura fallu par exemple environ 38 ans à la radio pour atteindre 50 millions d'utilisateurs dans le monde, ce que l'application Angry Bird a accompli en seulement 35 jours.

Kodak qui est pourtant à l'origine du premier appareil numérique et dépositaire de plus de 1000 brevets en rapport avec la technologie numérique, n'a pas su (voulu) adapter son modèle d'affaires à cette technologie. La marge que la compagnie se faisait sur les ventes de pellicules argentiques était si importante que les dirigeants n'ont pas osé remettre en question ce modèle d'affaires pourtant voué à échec inexorable. Résultats des courses, après avoir régné sans partage sur le monde de la photographie pendant près d'une décennie, Kodak assista à la chute vertigineuse des ventes d'appareils argentiques. Ceci entraîna par extension l'effondrement du business de la pellicule argentique et par là même, l'effondrement de Kodak.

La santé est également un des domaines profondément touché par les progrès rapides de la technologie. Par exemple, l'espérance de vie moyenne des nord-américains (Canada, États-Unis) a régulièrement augmenté depuis deux décennies, passant de 76 ans en 1994 à 80 ans en 2014, et elle continue de progresser. Les nouvelles technologies, plus particulièrement les biotechnologies sont en grande partie responsables dans l'amélioration de la vie des nord-américains ainsi que de leur survie.

Les avancées technologiques ont également transformé la façon dont les médecins posent des diagnostics et traitent des maladies. La cartographie du génome humain combinée aux systèmes d'intelligence artificielle et au traitement analytique des données est désormais utilisée dans les procédures de diagnostics. Par exemple, une expérience a été menée par une équipe d'oncologues du « Memorial Sloan Kettering Cancer Center » de New York consistant à utiliser Watson, le célèbre système d'intelligence artificielle d'IBM pour établir des diagnostics et préconiser les meilleurs traitements dans la prise en charge de patients atteints du cancer.

Dans un autre domaine, Blockbuster, qui a jadis été la plus grande chaîne de clubs de location de vidéo au monde, a été dépassée par Netflix sur le marché de la diffusion vidéonumérique en continu. Cet ex-géant américain n'a pas su s'adapter aux nouvelles habitudes de consommation qui ont bouleversé les codes de la distribution traditionnelle et en l'espace d'une décennie, l'entreprise qui a valu 5 milliards de dollars US à son sommet, a déclaré faillite, emportant avec elle le modèle traditionnel du club vidéo.

Les exemples d'innovations perturbatrices sont nombreux et touchent toutes les entreprises quel que soient leur taille, leur secteur ou leur lieu d'exploitation. On peut également citer Expédia qui a bouleversé le modèle d'affaires des agences de voyage, Uber celui du transport, Amazon celui de l'édition, Skype, WhatsApp celui des télécommunications, Airbnb celui du logement, Kickstarter, Apple pay celui des finances, Spotify celui de la musique, Coursera celui de l'éducation etc.

Toutes ces innovations de rupture qui ont fondamentalement révolutionné leur marché respectif ont comme point commun la rapidité d'innovation, une accessibilité permanente, et une expérience utilisateur centrée sur la mobilité et l'utilisation des réseaux numériques.

Les gouvernements régulent les impôts et les dépenses et ont un rôle majeur à jouer dans la définition du cadre juridique (droit de la concurrence, droit à la consommation, etc.) dans lequel les marchés fonctionnent, se développent, adoptent et diffusent de nouvelles technologies. Les investissements et les approvisionnements des gouvernements peuvent avoir un impact direct sur le développement de certaines technologies au détriment d'autres. De la même manière, les impôts et les subventions peuvent inciter les entreprises et les consommateurs à développer et /ou adopter des nouvelles technologies. Ces derniers ont donc un rôle primordial à jouer pour relever le défi des technologies perturbatrices.

Dans un premier temps en jouant leur rôle de facilitateur dans le développement et l'adoption des nouvelles technologies. Il s'agit ici de promouvoir la littératie numérique et la création d'une réglementation habilitante en mettant l'accent sur l'établissement d'infrastructures publiques et de normes pour assurer l'interopérabilité entre les technologies. Dans un second temps, les gouvernements doivent aussi jouer pleinement leur rôle de régulateur des marchés dans lesquels les entreprises évoluent.

En Afrique, il urge de généraliser les investissements d'infrastructures à toutes les régions et zones isolées afin de passer des investissements dans l'infrastructure aux investissements dans la création de contenus et l'innovation. Bien que des efforts non négligeables soient consentis dans nombreux pays africains pour déployer d'importantes infrastructures numériques, force est de constater qu'à ce jour nombreuses sont les zones rurales ou isolées où ces infrastructures sont inexistantes. Le maillage numérique complet des territoires augmenterait considérablement la capacité des citoyens de participer à cette révolution numérique en améliorant la connectivité des ménages et en favorisant l'installation des entreprises dans ces zones reculées.

Ces investissements axés sur l'innovation par les technologies vont non seulement soutenir l'activité économique à travers les transactions en ligne (commerce, éducation, finances, mobile money, etc…), mais également apporter aux populations quelle que soit leur location, l'information et le service publics dont elles ont besoin.

De manière générale, utiliser les nouvelles technologies numériques pour soutenir les activités qui génèrent de la richesse va permettre aux populations à très faibles revenus de sortir de l'état de pauvreté dans lequel elles se trouvent, et aux pays en voie de développement de tendre vers une croissance inclusive synonyme d'accélérateur dans la voie du développement.

Oumar Watt
Gestionnaire GI/TI, Spécialiste en intelligence économique

(Source : ITmag, 31 juillet 2016)



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Facebook : Le Safety Check bientôt lancé automatiquement

Facebook : Le Safety Check bientôt lancé automatiquementFacebook mènerait actuellement une série de tests afin d’automatiser le fonctionnement du Safety Check.



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Communication interne : 3 pistes pour rendre les procédures de votre entreprise plus sexy

im-sexy-and-i-know-it_o_508768Pour dire STOP aux procédures et guides utilisateur ennuyants à mourir.
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samedi 30 juillet 2016

Google annonce le partage familial pour le Google Play Store

Google annonce le partage familial pour le Google Play StoreGoogle vient d’annoncer le lancement de « Family Library », une bibliothèque pour partager ses contenus du Google Play Store entre les membres d’une même famille.



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Free annonce un bridage progressif des débits en itinérance

Free annonce un bridage progressif des débits en itinéranceLe contrat d’itinérance de Free avec Orange va se terminer en 2020. D’ici là, le trublion des télécoms a annoncé que les débits de la 3G en itinérance seront progressivement bridés.



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vendredi 29 juillet 2016

TIC : Un colloque sur le renforcement des capacités se tient à Nairobi

Nairobi a été choisie pour accueillir le Colloque mondial sur le renforcement des capacités dans le secteur des TIC (CBS-2016) organisé par l'UIT.

Selon un communiqué, il s'agit de la principale manifestation à l'échelle mondiale sur le renforcement des capacités dans le domaine des technologies de l'information et de la communication (TIC). Le colloque aura lieu à Nairobi (Kenya) du 6 au 8 septembre 2016. Des manifestations préalables auront lieu le 5 septembre.

Organisé par l'UIT, institution spécialisée des Nations Unies pour les technologies de l'information et de la communication (TIC), informe un communiqué, le colloque se tiendra sous l'égide du Gouvernement du Kenya et aura pour thème "Saisir les chances de renforcer les capacités à l'ère du numérique".

Il réunira des responsables de haut niveau du monde entier, notamment des ministres, des directeurs généraux d'autorités de régulation, des chefs de secrétariat d'organisations du système des Nations Unies, des P.-D. G. de sociétés du secteur privé, des représentants d'universités et d'instituts de recherche, des responsables du renforcement des capacités humaines et d'autres experts du renforcement des capacités dans le domaine des TIC.

Pathé Touré

(Source : Le Journal de l'économie sénégalaise, 29 juillet 2016)



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Sonatel : en 2015, 60% des bénéfices ont été réalisés en dehors du Sénégal

Les principaux indicateurs de l'exercice 2015 du groupe sénégalais sont en progression malgré un environnement difficile. Les filiales malienne et guinéenne ont été les principaux relais de la croissance.

Au cours de l'exercice 2015, Sonatel (présent au Sénégal, au Mali, en Guinée et en Guinée Bissau) a réalisé un chiffre d'affaires de 863 milliards de FCFA (+ 47,3 milliards par rapport à 2014, soit une augmentation de 5,8% ), l'équivalent de 1,316 milliard d'euros. Les activités au Mali (22,7 milliards de revenus supplémentaires) et en Guinée (+17,6 milliards) ont porté l'essentiel de cette performance. Orange Money a vu ses revenus progresser de 77,5%, à 14,9 milliards de FCFA, participant à hauteur de 13,7% à l'augmentation du chiffre d'affaires. Globalement, malgré ces bonnes performances, la croissance des revenus du groupe est toutefois en retrait par rapport aux 10,5% et 11,4% connus en 2014 et 2013.

La marge d'Ebitda est restée très élevée (51,9% contre 52,4% en 2014), mais le résultat net progresse peu, à 221 milliards de FCFA (+1,4%).

Ce « léger fléchissement s'explique par l'intensification des offres promotionnelles sur le marché (bonus de rechargement) et l'impact de nouvelles taxes » dans plusieurs pays, a expliqué le groupe dans un communiqué diffusé le 22 février. L'importance grandissante des opérateurs Over the top (Viber, Skype…) a aussi « entraîné une baisse du trafic arrivée international ».

International

Selon le groupe sénégalais, filiale du français Orange, « la poursuite des investissements soutenus ont permis de renforcer son leadership dans tous les pays de présence et de maintenir ses solides performances opérationnelles et financières malgré un environnement de plus en plus difficile ».

Sonatel est en effet numéro un dans tous les pays dans lesquels il opère avec plus de 50% de parts de marché (en progression partout). Le groupe compte 26,6 millions d'abonnés (en hausse de 0,8%), pour plus de 3000 emplois directs et plus de 100 000 indirects (distribution commerciale étendue, sous-traitance, différents partenariats…).

Sonatel réalise désormais la moitié de ses revenus et 60% ses bénéfices en dehors du Sénégal. Le groupe devrait récupérer sous son aile Airtel Sierra Leone (500 000 souscripteurs), qu'Orange vient de racheter auprès du groupe indien Airtel.

Amadou Oury Diallo

(Source : Jeune Afrique, 23 juillet 2016)



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Presse en ligne : L'Appel veut des sites et contenus de qualité

Le renforcement de capacités est un cheval de bataille des acteurs de la presse en ligne qui veulent des contenus de qualité. Ils l'ont dit, lors d'une rencontre avec les journalistes.

La presse en ligne sénégalaise est composée de citoyens responsables qui ont une claire conscience des enjeux et de l'avenir de leur secteur. C'est l'avis de Ibrahima Lissa Faye, président de l'Association des éditeurs et professionnels de la presse en ligne (Appel). Face aux journalistes, hier à la Maison de la presse, l'Appel a fait part de son projet de labellisation et de mise en place d'un cahier de charges dont le respect strict sera obligatoire pour tout promoteur de sites.

Ibrahima Lissa Faye et ses confrères de la presse en ligne constatent avec amertume les dérives quotidiennes sur la toile. Dès lors, il y a urgence à boucler toutes les réflexions, qui doivent autoriser une pratique saine et professionnelle du métier de journalisme en ligne. « Malgré notre force, avec plus de 2 millions de visiteurs par jour, et que nous constituons l'avenir des médias, de manière générale, nous sommes critiqués, catalogués et l'objet de toutes sortes de procès. Même s'il y a un part de vérité dans ces complaintes, des consommateurs et autres, les membres de l'Appel (53 sites) estiment que ce sont souvent des clichés inhérents au fait qu'on soit une force en émergence », souligne M. Faye.

Le président de l'Appel informe qu'un plan stratégique 2016-2020 est élaboré par l'association ; un projet ambitieux pour le renforcement des capacités de ses membres afin d'améliorer la qualité des contenus. Ce plan sera soumis, d'ici novembre, aux partenaires de l'association à travers une table-ronde des bailleurs. De son côté, Daouda Thiam, secrétaire général de l'Appel, a déclaré que le milieu doit être assaini afin de distinguer la bonne de la mauvaise graine. Une commission chargée d'éthique et de déontologique est mise en place pour mieux réguler le secteur. M. Thiam a donné l'exemple d'un administrateur de site, qui n'arrêtait pas de publier des photos peu amènes.

Après plusieurs mises en demeure pour le ramener à l'ordre, le mis en cause n'a pas obtempéré. Ce qui lui a valu une exclusion purement et simplement de l'Appel. Pour les membres de cette association, comme Mountaga Cissé, son porte-parole, l'exercice du journalisme en ligne peut espérer un avenir radieux avec une économie florissante.

Serigne Mansour Sy Cissé

(Source : Le Soleil, 29 juillet 2016)



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Doing busines : Le pays veut faire un bond en avant avec la deuxième phase de Télédac

La deuxième phase de la plateforme Télédac va permettre au Sénégal de faire un grand bond en avant dans le classement Doing business, a annoncé jeudi à Dakar, Cheikh Bakhoum, le Directeur général de l'Agence de l'informatique de l'Etat(ADIE).

S'exprimant lors du lancement de la deuxième phase de la plateforme Télédac, M. Bakhoum a vanté les avantages de cet instrument au-delà de permettre au Sénégal de faire un bond en avant dans le classement Doing business, va réduire de trois mois à 28 jours, les délais d'obtention du permis de construire.

La plateforme Télédac est un projet de télé-demande d'autorisations de construire lancé en 2014 avec le concours de l'Investissement facility for Africa(ICF) qui a financé le projet.

Selon le Directeur général de l'ADIE, dont la structure pilote le projet, " cette seconde phase de Télédac intègre la phase deux de l'Acte 3 de la décentralisation".

" La plateforme Télédac qui n'était opérationnelle qu'au sein des villes de Dakar, Pikine, Guédiawaye, Rufisque s'étend désormais aux 52 communes et dix sous-préfectures de la région de Dakar", a-t-il indiqué.

Prenant la parole, le ministre de la Promotion des investissements, Khoudia Mbaye, a souligné que la plateforme va supprimer le parcours de l'investisseur, ajoutant qu'elle va promouvoir le " culte de l'efficacité et la transparence ".

Elle a exhorté les maires des collectivités locales à " s approprier de l'outil Télédac pour réduire les délais d'obtention du permis de construire aux investisseurs surtout étrangers".

(Source : APS, 28 juillet 2016)



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Télécommunication et économie numérique : Pourquoi il ne faut pas tuer la poule aux œufs d'or ?

Après l'acquisition à 100 %, de l'AIRTEL, filiale du Groupe hollandais, Bharti International et principal opérateur mobile en Sierra Léone, la Sonatel, avec son partenaire stratégique Orange, vient de franchir un nouveau pas dans sa stratégie d'implantation en Afrique de l'Ouest. Cette nouvelle conquête élargit de manière significative, les parts de marché de l'opérateur historique sénégalais. Elle vient s'ajouter à celles du Mali (2001), de la Guinée (2007) et la Guinée-Bissau (2007), pour un cumulé de 20 millions d'abonnés. Avec une capitalisation boursière qui dépasse les 900 milliards de francs FCFA, la Sonatel reste le premier groupe de téléphonie en Afrique de l'ouest et un des tout-premiers sur le continent, alors que certains pays comme la Côte d'Ivoire disposent d'un PIB deux fois supérieur à celui du Sénégal. Le marché sierra-léonais porte sur un bassin de 1,3 million d'abonnés.

Toutefois, il est important de le souligner, l'état sénégalais a joué un rôle déterminant dans l'extension internationale du réseau de la Sonatel dans ce pays anglophone. En effet, le Président Macky Sall s'est personnellement investi dans cette acquisition. Le chef de l'état a mis à profit la bonne qualité de ses relations avec son homologue sierra-léonais, Ernest Bai Koroma, pour appuyer de manière soutenue les efforts d'expansion de la Sonatel, sous la houlette du Directeur Général, M. Alioune Ndiaye. Cette vitalité économique et commerciale avait été, du reste, soulignée par M. Amadou Bâ Ministre de l'économie, des finances et du Plan, lors du vote de la première loi de finance rectificative de l'année 2016. Parlant de la vente de la licence 4 G et du renouvellement pour 17 ans de la concession de l'état à la Sonatel. M. Bâ s'était réjoui du rattrapage technologique opéré par l'entreprise nationale sénégalaise, dans laquelle, l'état sénégalais détient 26 % des parts. La mise en service de la 4G est jugée par le Ministre de l'Economie comme « une bonne affaire. »

De manière plus globale, la Sonatel rapporte gros à l'état et aux Sénégalais. On peut estimer à environ 450 milliards ce que l'opérateur Sénégal injecte dans notre économie, en termes d'impôts, d'emplois créés d'effets induits pour les sous-traitants et autres fournisseurs. Il ne fait aucun doute pour le ministre de l'économie et des finances que les 100 milliards de la Sonatel que l'état vient d'engranger viennent insuffler une grosse bouffée d'air dans notre économie en croissance, dans l'orbite de l'émergence.

Décisions incongrues

Ce soutien étatique appuyé, donne à la Sonatel des gages de confiance renouvelée à ce fleuron des entreprise au Sénégal et dans la sous-région. Cependant, cette performance et le crédit qu'accordent les autorités sénégalaises à la Sonatel, tranchent nettement d'avec des décisions que l'Autorité de Régulation des Postes et Télécommunications (ARTP) prend en son encontre, pour semble-t-il, non-conformité avec le décret.

L'analyse des arguments présentés par la Direction de la Sonatel et l'Amicale des cadres, il ressort clairement que l'opérateur s'est conformé, pour l'essentiel à l'esprit du décret. De toute évidence, il semble qu'il subsiste un dysfonctionnement dans le processus de communication et de relation institutionnelle entre l'autorité de régulation et la compagnie de téléphonie. Il est tout de même regrettable, que cette faille empeste la coopération qui devrait être la règle d'or entre les deux institutions. En tout état de cause, elles doivent contribuer au même objectif, assurer une bonne qualité de service aux consommateurs et un meilleur confort d'accès aux produits de communication.

Respecter les droits des consommateurs

Sans doute, aussi, les droits des consommateurs doivent-ils être sauvegardés au regard des opportunités essentielles qu'apportent les services de télécommunication, aux populations, aux entreprises et à l'économie numérique, en tant que levier de croissance et d'émergence à notre pays.

Ces postulats de base doivent imprégner de manière constante les relations contractuelles entre la Sonatel pourvoyeuse de services et l'ARTP, assurant les droits des consommateurs et la stricte observance des règles de concurrence entre les opérateurs. Il nous paraît dès lors, fondamental de rééquilibrer les relations entre, d'une part la Sonatel et l'ARTP, et d'autre part, celles entre l'opérateur et les associations de consommateurs. Ces exigences normatives constituent le socle de l'éthique professionnelle et de la profitabilité économique et sociale des services de téléphonique et d'économie numérique..

Le réajustement de la politique clientèle de la Sonatel, vers une plus grande socialisation paraît nécessaire. Mais d'un autre côté l'acharnement par la pénalisation non conforme et disproportionnée peut, dans l'immédiat, jeter son discrédit sur ses images internes et externes, ralentir l'activité de l'opérateur et obérer son développement international.

Il serait, en conséquence fatal à notre économie de fragiliser les entreprises les plus performantes, par des mesures de rétorsions d'une sévérité inouïe. Il s'avère nécessaire pour la Sonatel de réajuster sa démarche clientèle dans le sens d'une meilleure socialisation de l'économie numérique. Il est tout essentiel, pour l'ARTP, les associations de consommateurs et les partenaires sociaux de la Sonatel de ne pas tuer la poule aux œufs d'or. Une approche chronique impliquant de façon holiste, l'opérateur, le régulateur et les associations de consommateurs éviterait l'horrible perspective d'un écroulement de l'opérateur au plan national, au moment même où, à l'international, il est accueilli à bras ouverts.

Momar Seyni Ndiaye

(Source : Sud Quotidien, 29 juillet 2016)



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Dématérialisation complète de la procédure de demande d'autorisation de construire : La seconde phase du projet TéléDAC lancée à Dakar

Pour faciliter les conditions d'obtention de l'autorisation de construire, à travers la dématérialisation complète de la procédure, la nouvelle plateforme TeleDac a été lancée hier, jeudi 28 juillet à Dakar. C'était en présence de Mme Khoudja Mbaye, ministre de la Promotion des investissements, des Partenariats et du Développement des Télé services de l'Etat, et Diène Farba Sarr, ministre du Renouveau urbain de l'Habitat et du Cadre de vie.

La plateforme de Télé-Demande d'Autorisation de Construire (TeleDAC) facilite ainsi les conditions d'obtention du permis de construire, à travers la dématérialisation complète de la procédure grâce au concours de l'APIX, du ministère en charge de l'Urbanisme, du Bureau organisation et méthodes (BOM), du CPI et du partenaire financier Investment Climate facility for Africa (ICF Africa), entre autres. Hier, jeudi 28 juillet, la seconde phase de ce programme (TéléDAC) a été lancée à Dakar. En effet, depuis 2014, ce portail a intégré les espaces « télé procédures » et « e-citoyen » permettant de créer un vrai dialogue entre l'administration et ses usagers.

Mme Khoudia Mbaye indique que c'est un instrument formidable mis à leur disposition « pour gagner du temps (dans le délai) de traitement de la procédure de délivrance de l'autorisation de construire, gagner du délai mais aussi gagner de la transparence ». Selon le ministre de la Promotion des investissements, des Partenariats et du Développement des Télé services de l'Etat, on peut dire que c'est une construction technique avancée mais inclusive accompagnée de formation et de disposition d'équipement au niveau des collectivités locales. La spécificité actuelle est que « nous avons changé d'échelle avec l'introduction, la mise en œuvre de la réforme des collectivités locales, avec ce qu'on appelle l'Acte 3 de la décentralisation qui fait des toutes les collectivités locales des communes. Donc, ils ont tout changé en passant à cinquante-deux (52) collectivités locales et dix (10) sous-préfectures dans la région de Dakar », rajoute Mme le ministre.

Le Directeur general de l'Agence de l'Informatique de l'Etat (ADIE), directeur du projet TeleDAC affirme que cette cérémonie de lancement est une « preuve éclatante de l'intérêt que le président de la République Macky Sall accorde à la modernisation de l'administration sénégalaise ».

Dans une période encore récente, « il n'a pas manqué de réitérer ses instruction pour la mise en œuvre d'un nouveau model d'administration publique, orienté vers l'innovation et la modernité, gages de la performance et de la compétitivité ». C'est pourquoi l'ADIE est appelé à travailler résolument avec les différentes administrations à la décentralisation des procédures administratives. A son avis, le projet TeleDAC, un des premiers dans ce domaine, en faveur de l'entrée en vigueur de l'Acte 3 de la décentralisation, « est entré cette année dans une nouvelle phase de maturité et d'ouverture », juge-t-il.

Oumoul Khairy Seck

(Source : Sud Quotidien, 29 juillet 2016)



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Permis de construire : Une plateforme de dématérialisation lancée

La plateforme de Télé-Demande d'autorisation de construire (TéléDac) intégrant l'Acte 3 de la Décentralisation a été lancée hier. La 2ème phase de ce projet de dématérialisation de la procédure de demande d'autorisation de construire s'étend désormais aux 52 communes et 10 sous-préfectures de la région de Dakar.

A la faveur de l'entrée en vigueur de l'Acte 3 de la décentralisation, la plateforme TéléDac, lancée et mise en œuvre, il y a de cela deux ans, par l'Agence de l'informatique de l'Etat (Adie), a élargi, cette année, son périmètre d'application. Cette plateforme qui n'était opérationnelle qu'au sein des villes de Dakar, Pikine, Guédiawaye et Rufisque, s'étend désormais aux 52 communes et 10 sous-préfectures de la région de Dakar. Cette phase d'extension de TéléDac s'accompagne d'un vaste programme de dotation en équipements (ordinateurs, imprimantes multifonctionnelles) des structures et d'un renforcement de capacités des acteurs à travers plusieurs ateliers et sessions de formation. S'ajoutent à ces activités de conduite de changement, le câblage et l'interconnexion de toutes les mairies et sous-préfectures de la région de Dakar à l'Intranet administratif.

Selon le directeur général de l'Agence de l'informatique de l'Etat (Adie), Cheikh Bakhoum, la TéléDac est entrée, cette année, dans une phase de maturité et d'ouverture à travers l'accroissement du nombre de procédures couvertes et de nouvelles applications intégrées dans la plateforme. A l'en croire, depuis le lancement de cette plateforme, en mars 2014, plus de 4.500 dossiers de demandes d'autorisation de construire ont été traitées dans la région de Dakar.

« L'Acte 3 de la décentralisation confère aux anciennes communes d'arrondissement et aux sous-préfectures les prérogatives de signature et d'approbation des autorisations de construire. Cette nouvelle donne qui introduit 62 nouveaux acteurs (52 mairies et 10 sous-préfectures) dans le circuit, va contribuer à accroître, de façon significative, le taux d'enrôlement des dossiers dans la plateforme, en raison notamment de leur proximité avec les usagers », indique M. Bakhoum.

Modernisation de l'administration

Il invite donc les acteurs à maintenir et à renforcer cette dynamique de mobilisation pour relever les prochains défis de cet immense chantier de modernisation de l'administration, au bénéfice de tous les Sénégalais.

Le Dg de l'Adie remercie au passage tous les partenaires intervenant dans ce projet et dont la collaboration a été fructueuse, en l'occurrence Investment climate facility for africa (Icf), les représentants du Bureau organisation et méthode, de l'Urbanisme, de l'Apix et de l'Ordre des architectes.

Présidant la cérémonie de lancement de la TéléDac, le ministre de la Promotion de l'Investissement, des Partenaires et du Développement des téléservices de l'Etat, Khoudia Mbaye, appelle tous les usagers, les maires y compris, à utiliser et à s'approprier cet important instrument mis à leur disposition pour gagner en transparence et en temps dans la délivrance des permis de construire. A l'en croire, cette procédure existe déjà, mais la spécificité, c'est qu'ils ont changé d'échelle avec l'introduction et la mise en œuvre de l'Acte 3 de la décentralisation. « Cette étape va contribuer assurément à réduire, de façon significative, les délais de délivrance du permis de construire jusqu'à 15 jours », confie-t-elle.

Maguette Guèye Diédhiou

(Source : Le Soleil, 29 juillet 2016)



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52 communes et 10 sous-préfectures intègrent le projet TeleDAC

Cheikh Bakhoum, le Directeur général de l'agence de l'informatique de l'État (ADIE), a annoncé jeudi à Dakar que la plateforme de télé demande d'autorisation de construire (TeleDAc) va intégrer dans sa deuxième phase 52 nouvelles communes et 10 sous-préfectures, afin de dématérialiser le processus d'obtention du permis de construire en dehors des communes de la région de Dakar.

‘‘Le Président de la République a dans une période récente réitère son attachement à une administration moderne. Et l'ADIE est appelé sous ce rapport à travailler avec tous les services concernés de l'Etat. TeleDAC qui se veut une plateforme qui donne à ceux qui en expriment le besoin d'obtenir le permis, suivant une procédure dématérialisée sera désormais étendue à 52 nouvelles communes et 10 sous-préfectures'', a expliqué Cheikh Bakhoum. Le Directeur général de l'ADIE s'exprimait à l'occasion de la cérémonie de lancement de la plateforme TeleDAC avec la prise en compte de l'acte3 de la décentralisation.

‘‘4 500 dossiers ont été traités dans la région de Dakar, depuis le lancement en 2014 de la plateforme TeleDAC. Il nous revient de consolider les acquis, afin que les acteurs puissent s'approprier le nouveau dispositif. Et c'est le lieu de se féliciter de la coopération de certains services de l'État, tel que l'APIX, le bureau organisation et méthodes BOM'', a déclaré M. Bakhoum.

Le ministre de la promotion des investissements, Khoudia Mbaye s'est de son côté félicitée du fait que ‘‘TeleDAC tienne en compte l'acte3 de la décentralisation, non sans appeler à l'élargissement du projet dans les autres régions du Sénégal''.

‘‘La mise en œuvre de la plateforme TeleDAC va développer le culte de l'efficacité, avec notamment la réduction des délais d'obtention du permis de construire'', a-t-elle affirmé.

‘‘Le ministère de l'urbanisme n'est pas le seul à étudier le permis de construire. D'autres services, comme ceux de l'assainissement et d'autres acteurs qui sont aussi impliqués. Et leur synergie via la plateforme TeleDAC est importante pour l'obtention du permis de construire'', a-t-elle ajouté.

Elle a soutenu qu'un un ‘‘bon usage de l'outil'' peut donner les possibilités aux ‘‘sénégalais et aux investisseur étrangers'' de disposer avec plus de ‘‘facilité à obtenir le permis de construire'‘, affirmant que TeleDAC participe de ce point de vue aux ‘‘reformes du climat des affaires au Sénégal''.

Idrissa Guèye

(Source : Le Journal de l'économie sénégalaise, 29 juillet 2016)



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Environnement des affaires : La plateforme TeleDAC a contribué à la réduction des déplacements et des charges pour l'obtention du permis de construire

TeleDAC a considérablement contribué à la réduction des déplacements, des charges de 25 pour cent sur les coûts supportés par les usagers et des risques de corruption, indique un document de presse publié à l'occasion du lancement officiel de la plateforme.

‘Les délais d'instruction et de délivrance du permis de construire passent de 3 mois minimum, auparavant, à environ 28 jours aujourd'hui. A ce jour, près de 4 000 dossiers ont été traités dans les 4 départements de la région de Dakar'', explique le document de presse dont une copie a été transmise à LEJECOS.

Le document soutient en outre que TeleDAC est aussi un ‘‘savoir-faire dans le domaine de l'archivage électronique''.

‘‘En effet, à travers le projet, 200 000 dossiers de demande d'autorisation de construire ont été numérisées, suite à la réhabilitation des bureaux d'archives des services départementaux de l'urbanisme de Dakar'', souligne le document.

C'est une démarche qui a permis selon les services de l'ADIE de ‘‘sécuriser et de conserver les archives physiques de permis de construire des directions de la région de Dakar''.

Le document ajoute que la ‘‘dématérialisation a contribué à l'amélioration du classement du Sénégal, avec une réduction des délais de traitement des délais et des coûts induits''.

‘‘En 2015, le Sénégal a pu avancer de 10 places dans le classement du Doing Business. Dans la continuité de sa politique, le Sénégal a entrepris la consolidation des avancées obtenues avec la dématérialisation de la démarche relative à l'autorisation de construire dans la région de Dakar, avec la prise en compte de l'acte3 de la décentralisation'', note le document.

Idrissa Guèye

(Source : Le Journal de l'économie sénégalaise, 29 juillet 2016)



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TeleDAc : lancement de la plateforme intégrant l'Acte 3 de la décentralisation

L'Agence De l'Informatique de l'Etat a officiellement lancé sa plateforme de dématérialisation du Permis de Construire qui prend en compte désormais les dispositions contenues dans la réforme de l'Acte 3 de la décentralisation en matière de signature et d'approbation des autorisations de construire. La cérémonie de lancement, présidée par Mme Khoudia MBAYE, Ministre de la Promotion des Investissements, des Partenariats et du Développement des Téléservices de l'Etat, a réuni l'essentiel des acteurs intervenant dans ce projet : l'urbanisme, les collectivités locales l'administration territoriale, le secteur privé, pour ne citer que ceux-là.

Maires, sous-préfets, directeurs ont assisté au lancement de la Plateforme TéléDemande d'Actes administratifs (TeleDAc) qui a fini de s'adapter à l'Acte III de la décentralisation en enrôlant les 52 nouvelles communes de plein exercice de la région de Dakar et des 10 sous-préfectures. « Nous avons équipé, formé et connecté ces nouveaux acteurs grâce à notre partenaire ICF », déclare le Directeur Général de l'ADIE, Directeur du projet TeleDAc, Cheikh BAKHOUM. Selon M. BAKHOUM, 4500 dossiers de demandes d'autorisations de construire ont été traités dans la plateforme depuis son lancement en mars 2014. Il révélera également que le projet va bientôt être étendu dans toutes les régions du Sénégal en justifiant, au passage, le choix de Dakar comme région pilote par le fait qu'elle concentre, à elle seule, 90% des demandes liées au permis de construire.

Le ministre en charge des téléservices de l'Etat se réjouit, de sa part, des délais et des charges inhérents à l'instruction qui seront considérablement réduits grâce à cette plateforme. « En plus de faciliter les démarches pour l'obtention du Permis de Construire, TeleDAC contribue, assurément, à réduire, de façon significative, les délais d'instruction et à promouvoir, dans le même sillage, le culte de l'efficacité et de la transparence à tous les niveaux de notre administration », dira Khoudia MBAYE dont le département ministériel est aussi chargé de la promotion des investissements que la dématérialisation de l'instruction du permis de construire vise aussi à attirer.

Les autres intervenants, Serigne MBAYE Secrétaire Général du Ministère du Renouveau urbain, de l'Habitat et du Cadre de vie et Hubert HOURIZENE, représentant du partenaire technique et financier, ICF, ont insisté respectivement sur l'impact de TeleDAc dans le domaine de l'urbanisme et dans le rang amélioré du Sénégal au classement Doing Business.

(Source : ADIE, 29 juillet 2016)



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Impossible d'appeler ou d'envoyer des SMS depuis hier nuit : Sonatel, la catastrophe qui pourrit la vie des Sénégalais

Voilà une société qui peut tout se permettre sans que personne ne lève le plus petit doigt. Depuis hier nuit, il est difficile pour ne pas dire impossible d'émettre le moindre appel. Les sms, n'en parlons pas. Ils échouent tous systématiquement. Et curieusement, personne ne lève le plus petit doigt.

Voilà une entreprise qui fait un chiffre d'affaires qui avoisine les 1000 milliards de francs Cfa, avec un bénéfice tout ce qu'il y a de plus indécent en suçant le pauvre « gorgorlou » et qui est incapable de servir un service (excusez la redondance) de qualité.

Cette situation qui peut être dangereuse pour la sécurité du pays laisse tout le monde indifférent. Combien de personnes ont raté des rendez-vous extrêmement importants ? Combien de personnes n'ont pu joindre les services d'urgence ? La liste des désagréments causés par cet impair de la Sonatel n'est pas exhaustive.

Et dès que l'Autorité de régulation des télécommunications et des postes leur inflige une amende, les cadres de la boîte sautent au plafond, crient à l'injustice et se permettent même de demander le limogeage du Directeur général de l'autorité de régulation.

Comme la dernière fois, on ose croire que, pour le préjudice subi, les services de Abdou Karim Sall vont avoir la main lourde et sanctionner le premier opérateur de téléphonie à la mesure des désagréments qu'elle a causés aux Sénégalais.

C'est vrai qu'une société de téléphonie aussi prospère, qui ne débourse que 100 milliards de francs Cfa pour avoir la 4G et pour le renouvellement de sa licence peut tout se permettre.

Au grand dam des populations.

(Source : Sene Direct, 29 juillet 2016)



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Dysfonctionnement : le réseau Orange en folie hier et aujourd'hui

Les perturbations dans le réseau Orange reprennent de plus belle. Depuis hier, il fait des siens, provoquant ainsi l'ire des usagers.

Le réseau Orange est en dérèglement. Aujourd'hui encore, la connexion est défectueuse. Les usagers ont du mal à se connecter par wifi ou par ADSL. Même pour passer des appels téléphoniques, c'est la croix et la bannière.

Pour en savoir plus, Senenews.com a joint des opérateurs qui ont confirmé le dysfonctionnement. Mais ils nous ont assuré, comme pour rassurer les usagers, que la situation devrait se normaliser dans les prochaines heures. D'ici là, les usagers devront prendre leur mal en patience et compter sur l'Artp pour un contrôle plus serré des opérateurs téléphoniques.

C'est parce qu'il y va de la qualité du service, car les usagers disent ne pas continuer à payer un service qu'ils ne consomment pas. Senenews.com veille au grain et attend de voir la suite de ce dérèglement qui, d'ailleurs, est une récurrence.

(Source : SeneNews, 29 juillet 2016)



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VIDEO. Adulte, elle vit comme un bébé

VIDEO. Adulte, elle vit comme un bébéLE REWIND - Vous voulez de l’actu dont on ne parle pas au « 20 heures » ? Le Rewind est fait pour vous, et voici celui de ce vendredi 29 juillet 2016…  



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Vous ne devrez plus choisir entre la grasse matinée et le pain frais

Vous ne devrez plus choisir entre la grasse matinée et le pain fraisALIMENTATION - La machine à pain offerte par tante Jeanne? Rangée à la cave depuis plusieurs années. Le pain surgelé? Pas aussi bon que les miches du boulanger. Le pain fait maison? Laborieux et salissant... Si vous aimez vous lever tard mais que vous ratez à chaque fois les baguettes encore chaudes et les croissants frais de votre boulangerie, ou si celle-ci est prise d'assaut tous les matinsle site mon-pain.fr est fait pour vous.



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Le Samsung Galaxy Note 7 s'anime à 360 degrés, et il tourne bien

Le Samsung Galaxy Note 7 s'anime à 360 degrés, et il tourne bienLe prochain smartphone sud-coréen se dévoile entièrement dans un gif publié sur Twitter.



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Téléchargement : les dix meilleurs logiciels et applications de la semaine

Téléchargement : les dix meilleurs logiciels et applications de la semaineLa rédaction vous propose sa sélection hebdomadaire de nouveaux logiciels, applications et mises à jour. Au programme de l'édition du 29 juillet 2016 : Microsoft Pix, Google Maps, Prisma, Solace, Star Trek – Wrath of Gems...



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VIDEO. Grumpy Cat: On a (presque) fait la «Grump'interview» du chat le plus ronchon du Web

VIDEO. Grumpy Cat: On a (presque) fait la «Grump'interview» du chat le plus ronchon du WebVIDEO - Parce que nous aussi on peut être de mauvais poil…



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Le test de la semaine : la clé USB SanDisk Ultra Dual Drive

test-semaine-SanDisk-USB (4)Cette semaine dans le test de la semaine nous nous intéressons à la clé USB SanDisk Ultra Dual Drive.
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Ce site sur Pokémon Go a fait 16 millions de visiteurs les six premiers jours

PokéVisionIl n’y a pas que Nintendo, Pokémon Compagny et Niantic Labs qui profitent du succès de Pokémon Go.
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Google Play : la bibliothèque familiale fait son entrée sur la boutique !

android-994910_1920Bonne nouvelle pour les familles nombreuses, Google Play permet enfin de partager des achats avec plusieurs membres de sa famille !
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Plus de 300 000 emplois ont été créés grâce à Kickstarter

Un homme qui travaille sur son bureauLe financement participatif, c’est aussi des emplois générés.
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Cet homme gagne au moins 650 dollars par jour grâce à son compte Instagram

Le compte d'un influenceur sur InstagramA l’instar de YouTube, Instagram créé des opportunités pour ses influenceurs.
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Microsoft veut vous forcer à utiliser Cortana

Windows 10 bientôt numéro 1 en FranceLa prochaine grande mise à jour de Windows 10 va supprimer l’option qui permet de désactiver Cortana.
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Résultats partiels 2016 : Sonatel : Entre doutes et espoirs

Les 2 sociétés cotées intervenant dans les télécommunications, la burkinabée Onatel et la sénégalaise Sonatel ont été les premières à publier leurs résultats semestriels de 2016. Elles se sont également offert le luxe (dans le cadre de la Brvm) de le faire avant la fin juillet.

Sonatel qui a de plus en plus mauvaise presse au pays de la Teranga, affiche tout de même un résultat net de 110 Mds FCFA en baisse de 2,1% par rapport au premier semestre 2015, avec un chiffre d'affaires en hausse de 2,1% à 439 Mds FCFA. La filiale d'Orange annonce avoir subit les effets du taux de change défavorable de la monnaie guinéenne, sans quoi les deux précédents indicateurs auraient connu une croissance successive de 0,8% et 4,7%. Ce qui compte c'est la réalité. Les actionnaires ne peuvent compter que sur les 110 milliards de FCFA du résultat net réel publiés.

Ces derniers sont déjà suffisamment stressés par la mauvaise presse dont la société fait l'objet depuis plus d'un an au Sénégal. Entre les accusations d'attitude colonialiste et de surenchère des prix sur un réseau instable par les consommateurs et les menaces ou amende du régulateur, l'on craint régulièrement que cela se ressente sur sa base client et ses revenus. Heureusement, que l'entreprise s'est diversifiée et est présente sur 5 marchés maintenant, depuis l'acquisition en mi juillet, d'Airtel Sierra Leone, après les filiales du Mali, Guinée et Bissau.

On note ainsi que si le Sénégal a permit de réaliser 48% du chiffre d'affaires semestriel, contre 35% par le Mali et 15% par la Guinée, son apport au résultat net n'est que de 39% contre 48% pour le Mali. Lorsqu'on considère le taux de pénétration du mobile dans ces différents pays, l'on voit bien que le marché sénégalais et ses 114% n'a plus de grands potentiels de croissance à offrir en terme d'abonnés, contrairement aux 50% de taux de pénétration de la Sierra Leone, 73% de la Guinée Bissau ou 96% de la Guinée.

L'autre espoir de croissance pour les prochaines années se trouve dans le leadership et le développement du service Orange Money avec son nouveau statut d'établissement d'émission de monnaies électroniques au Sénégal et au Mali. De même l'on verra plus tard si la vente des data mobile aidera à compenser la baisse du chiffre d'affaires des appels internationaux.

(Source : Okibata, 28 juillet 2016)



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Lancement de la seconde phase de Teledac : Vers un accroissement du taux d'enrôlement des dossiers dans la plateforme

Le ministre en charge de la promotion des investissements, des partenariats des téléservices de l'état, Khoudia Mbaye a lancé cet après-midi la nouvelle plateforme Teledac (télé demande d'autorisation de construire) intégrant les nouvelles dispositions de l'acte 3 de la décentralisation.

A la faveur de l'entrée en vigueur de l'acte 3 de la décentralisation, Cheikh Bakhoum, Directeur de l'ADIE, fait savoir que Teledac est entré dans une nouvelle phase de maturité et d'ouverture. « Les nouvelles mutations prises en compte se sont traduites par l'élargissement de son périmètre d'application à travers l'accroissement du nombre de procédures couvertes et de nouvelles applications intégrées dans la plateforme », dira-t-il.

« L'implémentation de ces adaptations répondait à un besoin de cohérence, elle a en même temps offert l'opportunité de pérenniser les acquis de la première phase qui avait donné entière satisfaction en termes de résultats attendus », ajoutera t-il.

En effet, l'acte 3 de la décentralisation confère aux anciennes communes d'arrondissement et aux sous-préfectures les prérogatives de signature et d'approbation des autorisations de construire.

Cette nouvelle donne, selon Cheikh Bakhoum, Directeur du Teledac, introduit 62 nouveaux acteurs, à savoir 52 mairies et 10 sous- préfectures, ce qui selon lui, « va contribuer à accroitre de façon significative le taux d'enrôlement des dossiers dans la plateforme en raison de leur proximité avec les usagers. » Khoudia Mbaye, ministre en charge de la promotion des investissements, des partenariats des teleservices de l'état, a indiqué qu'avec le lancement de la phase 2 du Teledac, « on change de dimension et « évidemment cette étape va contribuer à réduire les délais, un des objectifs importants de cette procédure et promouvoir le culte de l'efficacité et de la transparence. »

« C'est un dispositif qui doit être généralisé vers la e-administration et il est important, sur l'échelle d'un territoire, que la région de Dakar soit couverte et que tous les acteurs travaillent en synergie », dira Khoudia Mbaye. « Nous devons travailler à accélérer le processus pour que la phase au niveau de Dakar finisse et que l'on se dirige vers la généralisation de cette procédure. »

Depuis le lancement de la plateforme, plus de 4 000 dossiers de demande d'autorisation de construire ont été traités dans la région de Dakar.

(Source : Dakar Actu, 28 juillet 2016)



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L'APPEL redéfinit les règles du jeu et propose des réformes

Pour relever le niveau de professionnalisme du web journalisme, l'Association des éditeurs et professionnels de la presse en ligne (Appel) va mettre en place un mécanisme de labellisation pour la qualité du contenu. Il sera aussi institué un cahier de charges auquel serait assujetti tout promoteur d'un site d'informations. La révélation a été faite, hier, lors d'un point de presse initiée par l'Appel qui regroupe plusieurs des portails les plus visités du Sénégal.

L'Association des éditeurs et professionnels de la presse en ligne veut une presse sénégalaise plus réglementée. C'est dans cette optique qu'elle entend réunir la matière grise des acteurs des médias et du droit afin de bien cerner les problématiques du secteur et ainsi relever le niveau de professionnalisme de la presse en ligne pour une organisation plus professionnelle.Appel, qui regroupe plusieurs des portails les plus visités au Sénégal, veut ainsi mettre de l'ordre dans ses rangs. Elle prévoit par ailleurs de se doter d'un cahier de charges et d'une labellisation dont le respect strict sera obligatoire pour tout promoteur de site d'information. Ce cahier de charges ainsi que les grandes lignes du projet de Labellisation cherchent à concevoir un référentiel, dont le respect sera obligatoire afin de renforcer les dispositions relatives aux conditions de création et de fonctionnement d'une entreprise de presse en ligne. Entre autres objectifs, l'approfondissement de la charte des journalistes de la presse en ligne, pour prendre en charge les exigences du moment et anticiper sur les perspectives, mais surtout d'intégrer tous les travaux relatifs au cahier de charges et à la charte dans le projet de code de la presse, pour permettre aux Sénégalais de dissocier la bonne graine de l'ivraie, selon le président de l'association, Ibrahima Lissa Faye. Même si, aujourd'hui, on note un trafic estimé à plus de deux (2) millions de visiteurs par jour pour les 53 sites membres d'Appel, son président Ibrahima Lissa Faye indique néanmoins qu'il convient de reconnaître l'existence toujours de dérives sur fond d'inflation terrifiante des supports en ligne, qui, de 16, en 2011, sont passés à plus de 200. « Cette profusion de sites a pour conséquence les plaintes et les nombreuses récriminations contre les entités de la presse en ligne, ce qui, naturellement, entache la crédibilité du web journalisme et son essor », déplore M. Faye.

De l'avis de Daouda Thiam, secrétaire général de l'Appel, avec une labellisation « sous-tendue » par un cahier de charges et une charte éthique et déontologique, qui seront versés au projet de code de la presse, l'exercice du journalisme en ligne peut espérer un avenir radieux avec une économie florissante. Toutefois, dit le secrétaire général d'Appel, « il y a un rôle qui ne revient qu'à une seule entité, en l'occurrence l'Etat. On a beau avoir la volonté d'assainir, réfléchir sur des initiatives de nature à combattre certaines pratiques qui n'honorent pas le journalisme en général, et le journalisme en ligne en particulier, mais seul l'Etat a la possibilité de mettre son costume de gendarme, pour contraindre les récidivistes et les récalcitrants à revenir aux fondamentaux journalistiques et à cesser les contenus condamnables ». Puis de renchérir : « il faut que l'Etat s'y mette, qu'il prenne ses responsabilités et joue pleinement sa partition. De notre côté, nous mettons les bouchées doubles pour que le secteur soit assaini ».

L'Association des éditeurs et professionnels de la presse en ligne (Appel) qui a fini d'élaborer son Plan stratégique 2016-2020, propose, par ailleurs, un projet ambitieux qui s'articule autour d'axes majeurs comme le renforcement des capacités de ses personnels (volets éditorial et administratif), le social (assurance-maladie) et un modèle économique capable de booster le développement des sites. Ledit plan sera soumis d'ici novembre à ses partenaires, à travers une table ronde des bailleurs.

Salma Fall

(Source : L'As, 29 juillet 2016)



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Attribution du marché de permis biométriques et plaques d'immatriculation sécurisée à GEMALTO : Le Ministre Mansour Elimane Kane esquive

Suite au lièvre soulevé par IGFM, dans un de ses articles mis en ligne le mardi 26 juillet 2016, relatif à l'attribution provisoire du marché de permis biométriques et plaques d'immatriculation sécurisée à l'entreprise française GEMALTO dans des conditions « non transparentes » selon un des soumissionnaires, le service de communication du ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement pour le Sénégal, M. Mansour Elimane Kane, interpellé par nos soins, a envoyé, mercredi un communiqué en guise de réaction à cet article.

Dans ce communiqué intitulé : « Modernisation de l'administration des Transports Routiers : Un grand chantier du Ministre Mansour Elimane Kane », nulle part de réponses précises aux questions soulevées sur le non respect par GEMALTO d'une des « exigences obligatoires » pour l'attribution dudit marché.

En effet, il s'agit de la fourniture des échantillons des plaques d'immatriculation. Parce que l'attributaire, (l'entreprise GEMALTO) n'a pas respecté cette exigence obligatoire, comme a pu le constater IGFM en parcourant les documents relatifs à ce marché de près de 235 pages. En lieu et place d'une réponse claire et précise à ce « manquement » le ministre des Transports esquive la question. Le communiqué indique de façon laconique que « la passation de marché a été faite dans la plus grande transparence. Ce qui valut au Ministère de Mansour Elimane Kane les félicitations de beaucoup de partenaires techniques et financiers ».

Le reste, c'est la littérature habituelle sur le bien fondé du projet. Mais, la question que se posent beaucoup de sénégalais, qui s'intéressent à ce marché, c'est comment des soumissionnaires aient été disqualifiés pour non respect des clauses obligatoires du cahier de charge et que l'attributaire puisse échapper à cette règle ?

Une question bien simple, qui demande une réponse simple et claire de la part du ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement pour le Sénégal, M. Mansour Elimane Kane.

Harouna Fall

(Source : L'Observateur, 28 juillet 2016)



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Facebook : des résultats record au deuxième trimestreIl semble que rien n’arrêtera Facebook. Le plus gros réseau social vient d’annoncer des résultats record pour le deuxième trimestre 2016, tant du côté financier que du côté de l’audience.



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jeudi 28 juillet 2016

Alphabet fait mieux que prévu, record en vue en Bourse

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Sénégal : vers une labellisation de la presse en ligne

Au Sénégal, les sites internet fleurissent comme des champignons sans respect, ni normes professionnelles. Pour faire face à ce fléau, l'association des éditeurs et professionnels de la presse en ligne compte redresser son image pour une meilleure professionnalisation.

C'est pourquoi, l'idée vers une labellisation est en cours de réflexion. L'APPEL compte organiser un atelier du 10 au 13 août prochain pour réfléchir sur cette possibilité avec l'élaboration d'un cahier de charge.

« L'objectif de cette rencontre est de relever le niveau de professionnalisme de la presse en ligne en mettant non seulement en place un mécanisme de labellisation pour la qualité du contenu, mais aussi la mise en place d'un cahier de charge auquel serait assujetti tout promoteur d'un site d'informations » a expliqué Ibrahima Lissa Faye, Président de l‘Appel lors d'une conférence de presse à Dakar .

Lissa Faye soutient que son association cherche également de la matière grise des acteurs des médias en concevant un référentiel dont le respect sera obligatoire avant de bénéficier de la labellisation, de renforcer les dispositions relatives aux conditions de création et de fonctionnement d'une entreprise de presse en ligne (cahier de charges), d'approfondir la charte des journalistes de la presse en ligne pour prendre en charge les exigences du moment et anticiper sur les perspectives, mais surtout d'intégrer tous les travaux relatifs au cahier de charges et à la charte dans le projet de code de la presse.

Redresser l'image de la presse en ligne

Aujourd'hui, la presse en ligne sénégalaise compte plus de 2 millions de visiteurs par jour. Avec cette force, elle, qui constitue l'avenir des médias est souvent critiquée, cataloguée et fait l'objet de toutes sortes de procès d'où l'importance de redresser son image. C'est pourquoi, APPEL a fini d'élaborer son plan stratégique 2016-2020 qui s'articule autour d'axes majeurs comme le renforcement des capacités des membres (volets éditorial et administration), le social et l'économie.

« Internet est un monde ouvert où chaque individu est libre de créer sa plateforme et diffuser des informations. Mais nous voulons assainir le secteur pour lui redonner son image d'antan. Nous ne cherchons pas à nuire personne. Nous voulons juste que les internautes respectent une certaine règle. Le reste c'est à l'Etat de faire le nécessaire » rappelle Lissa Faye.

(Source : Social Net Link, 28 juillet 2016)



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Alphabet (Google) affiche un chiffre d'affaires en hausse de 21%

Alphabet, la maison mère de Google, a annoncé jeudi une hausse de 23,1% de son chiffre d'affaires au deuxième trimestre, grâce à ses revenus publicitaires réalisés sur des supports mobiles et pour contenus ...
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Showroomprivé négocie le rachat de Saldiprivati

Showroomprivé a annoncé jeudi avoir engagé des négociations exclusives afin de racheter le site italien de déstockage Saldiprivati au groupe de e-commerce Banzai. Avec plus de deux millions d’utilisateurs ...
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Facebook Messenger : voici comment retourner à l’ancienne boite de réception

Le nouvel écran d'accueil de MessengerPour tous ceux qui n'aiment pas le nouvel écran d’accueil de Facebook Messenger.
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Les appels VoIP fonctionnent à nouveau en Wi-Fi

WhatsApp, FaceTime, Viber… Les appels en VoIP fonctionnent à nouveau au Maroc en se connectant en Wi-Fi.

Depuis l'après-midi du 27 juillet au moins, les appels par voie sur IP (VoIP) grâce aux principales applications mobiles de discussion fonctionnent à nouveau, à condition de connecter son terminal en Wi-Fi à un réseau ADSL. Après avoir testé la fonctionnalité sur les applications Whatsapp, FaceTime, Facebook, Skype et Viber, à plusieurs reprises, on constate qu'il est désormais possible de passer des appels vocaux et vidéos depuis le Maroc via ces services.

L'Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT), qui avait bloqué ces fonctionnalités en janvier 2016, ne s'est pas exprimée sur un éventuel déblocage. Au contraire, son service communication nous assure qu'« il n'y a pas de nouveau depuis les éléments apportés en janvier ». Les différents opérateurs téléphoniques affirment également qu'ils n'ont pas été notifiés d'un quelconque déblocage. Rien ne garantit donc que ce déblocage partiel se poursuivra.

Pourtant, les appels fonctionnent bel et bien pour l'heure. En revanche, lorsque le terminal est connecté aux réseaux de données cellulaires (3G, 4G, etc.), les appels ne fonctionnent toujours pas, à moins d'utiliser l'application IMO qu'ont adoptée de nombreux utilisateurs pour communiquer gratuitement.

Ce déblocage, peut-être partiel, intervient au lendemain de la publication, par l'ANRT, des principaux indicateurs sur la consommation des Marocains en matière de télécommunications. « Au terme du 2e trimestre 2016, le prix des communications mobiles a enregistré une baisse annuelle de 23%. La facture moyenne par client Internet a, pour sa part, augmenté de 4% » note le rapport intitulé L'Internet mobile stimule la croissance du parc des abonnés Internet.

(Source : Tel Quel, 28 juillet 2016)



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Presse en ligne : Vers la mise en place d'un cahier de charge pour un contenu sain et irréprochable

L'Association des Éditeurs et Professionnels de la Presse en Ligne (APPEL) est plus que jamais déterminée à mettre de l'ordre dans son milieu où tout semble permis. C'est ainsi que pour lutter contre certaines dérives, le Président de l'APPEL, Ibrahima Lissa Faye, s'est décidé à réglementer la création d'un site d'information.

« Nous allons organiser du 10 au 13 Août prochain un atelier sur la labellisation et l'élaboration d'un cahier de charge pour tout promoteur de presse en ligne », a d'emblée déclaré Lissa Faye qui explique que la labellisation va surtout concerner le contenu. Parce que, note-t-il, « nous voulons un contenu de qualité pour une presse en ligne saine et irréprochable. » Mieux annonce-t-il, la mise en place d'un cahier de charge qui ne circonscrit pas mais réglemente la création d'une presse en ligne.

Constatant un foisonnement terrible de sites d'information du fait des conditions de création très facile, le Président de l'APPEL a mis en place un certain nombre de référentiels auxquels serait assujetti tout promoteur de presse en ligne.

« En tant qu'acteurs et association, nous avons une volonté de ferme de réguler et de mettre de l'ordre. Maintenant il appartient à l'Etat de prendre ses responsabilités », insiste-t-il, non sans souligner que les mécanismes vont concerner l'éditeur, le directeur de publication, les reporters, respecter la charge déontologique, un siège, etc...

Revenant sur la mise en place d'un nouveau code de presse, l'APPEL veut que sa contribution soit prise en compte lors des travaux prévus par le ministère de la Communication qui va convoquer une concertation sur le code de la presse qui sera définitivement validé.

(Source : Dakar Actu, 28 juillet 2016)



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Basile Niane, Web entrepreneur : “Il faut expliquer aux jeunes que Facebook n'est pas un jeu”

La sensibilisation, c'est ce que prône le Web entrepreneur, Basile Niane, en ce qui concerne les méfaits des réseaux sociaux. En effet, ces derniers continuent de faire des dégâts. Le dernier en date, la vidéo publiée sur Facebook qui montre un policier de la circulation filmé en plein marchandage avec des jeunes filles qui ont commis une infraction.

Au delà de la loi qui condamne aussi bien le corrupteur que le corrompu, les diffuseurs de cette vidéo risquent d'être épinglés par la loi sur la cybercriminalité. Selon le Web journaliste qui est également le CEO de Social Net Link, en publiant une vidéo sur les réseaux sociaux, ils devaient, au moins, flouter le visage de la personne. “Si on publie une vidéo sans flouter le visage de la personne, on a atteint à la vie privée de ce policier qui, selon la loi, a la possibilité de poursuivre ces jeunes qui ont publié la vidéo. Et s'il le fait ils auront de sérieux problèmes parce que c'est la loi sur la cybercriminalité qui le dit. Aujourd'hui, il faut protéger la personne”, a-t-il recommandé, ce jeudi 28 juillet, à l'occasion de la conférence de presse de l'Association des Editeurs et Professionnels de la Presse en Ligne (APPEL).

Pour lui, les auteurs de cette vidéo n'ont pas eu conscience de la gravité de leurs faits qui est d'avoir publié une vidéo sur les réseaux sociaux. “Le fait de publier, ce n'est pas interdit parce qu'ils voulaient dénoncer quelque chose, l'acte de la corruption. Mais l'erreur, c'était de diffuser une vidéo sans pour autant respecter certaines normes“, a déploré le blogueur au micro de Senego.

Appelant à la prudence sur les réseaux sociaux, M. Niane pense qu'il faut expliquer aux sénégalais, surtout aux jeunes, que “Facebook n'est pas un jeu, ce n'est pas un réseau social pour jouer. Parce que ce sont eux qui détiennent ces smartphones et qui ne savent pas comment on l'utilise. On a vu le cas de Déesse Major qui est une grande personne et qui n'a pas compris comment fonctionne la technologie en disant qu'avec Snapchat on a la possibilité de publier une vidéo qui était sous forme privée. Vu que, avec les applications que l'on a, on a la possibilité de faire une capture des vidéos”.

“Il faut expliquer aux jeunes“, dit-il, “l'aspect négatif de ces réseaux sociaux mais surtout éduquer les parents. Parce que s'ils n'ont pas la bonne information, les jeunes ne pourront pas avoir la bonne information. Et on se retrouve dans des familles où les jeunes sont beaucoup plus informés que les parents. Donc, il y a danger. Je pense qu'il y a un grand danger qui court au niveau de ces jeunes qui utilisent les réseaux sociaux. Aujourd'hui, je pense que ce soit Facebook, Twitter, Instagram, Snapchat, il faut que les gens fassent attention. C'est un bon moyen de communiquer mais c'est aussi un bon moyen d'aller vers sa tombe”.

(Source : Sénégo, 28 juillet 2016)



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Galaxy Note 7 : un teaser vidéo qui en dit déjà long

le teaser de SamsungA quelques jours du lancement du Galaxy Note 7, Samsung publie un teaser vidéo.
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Presse en ligne : Vers la labellisation et l'élaboration d'un cahier de charge

L'association des éditeurs et professionnels de la presse en ligne (l'APPEL), organise à partir du 10 août, un atelier sur la labellisation et l'élaboration d'un cahier de charge auquel serait assujetti tout promoteur d'un site d'information, a annoncé son président Ibrahima Lissa Faye.

''L'Appel organise du 10 au 13 août 2016, un atelier sur la Labellisation et l'élaboration d'un cahier de charge. L'objectif de cette rencontre est de relever le niveau de professionnalisme de la presse en ligne, en mettant non seulement en place un mécanisme de labellisation pour la qualité du contenu, mais aussi la mise en place d'un cahier de charge auquel serait assujetti tout promoteur d'un site d'information'', a-t-il dit.

Ibrahima Lissa Faye s'exprimait jeudi lors d'une conférence de presse organisée par le bureau éxécutif de l'APPEL à la maison de la presse.

‘'Cet atelier aura entre autres objectifs d'approfondir la charte des journalistes de la presse en ligne pour prendre en charge les exigences du moment et anticiper sur les perspectives, mais surtout d'intégrer tous les travaux relatifs au cahier de charge et la charte dans le projet de code la presse'', a expliqué M. Faye.

Le président de l'APPEL a par ailleurs rappelé que ‘'les problématiques de cet atelier est une demande forte des membres qui ont toujours aspiré à l'instauration d'un label dans la presse en ligne, afin de permettre aux Sénégalais de dissocier la bonne graine de l'ivraie''.

Pour ce faire,'' l'APPEL a fini d'élaborer son plan stratégique 2016-2020, un projet très ambitieux qui s'articule autour d'axes majeurs comme le renforcement des capacités de nos personnel (volets éditorial et administration), le social et l'économie. Ce plan sera soumis d'ici novembre à nos partenaires à travers une table ronde des bailleurs'', a-t- indiqué.

Daouda Thiam, le secrétaire général de l'APPEL, après avoir cité certains critères permettant la création d'un site d'information, a par ailleurs exhorté le gouvernement du Sénégal à un accompagnement ferme de sa part afin de permettre à cette association de mettre en pratique leurs dispositions.

(Source : APS, 28 juillet 2016)



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Apple a vendu son milliardième iPhone

Crédit : AppleUn milliard d’iPhone ont été vendus depuis le lancement du premier modèle en 2007.
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Tanzanie : Airtel, Tigo et Vodacom ont initié le partage d'infrastructures pour mieux couvrir les zones rurales

Les opérateurs de téléphonie mobile Airtel, Tigo et Vodacom ont décidé de tester le partage de leurs infrastructures de télécommunications. L'objectif est de mieux couvrir les zones rurales avec leurs services.

Les trois sociétés télécoms se sont mises d'accord pour collaborer de cette manière au cours de la conférence Mobile 360 Series – Africa organisée par l'Association mondiale des opérateurs télécoms (GSMA) du 26 au 28 juillet en Tanzanie. Trois sites télécoms pilotes seront lancés à travers le pays par les opérateurs pour vérifier d'abord l'efficacité de cette solution.

D'après Mat Granrydi (photo), le directeur général de GSMA, « cette collaboration entre les opérateurs télécoms démontre que l'industrie est engagée à connecter les non-connectés, particulièrement les millions de personnes vivant dans les zones rurales et leur permettre d'obtenir un accès aux services Internet essentiels. L'inclusion numérique est devenue une priorité stratégique pour les opérateurs et le gouvernement également. Se basant sur les 17 millions de citoyens qui accèdent actuellement à Internet, cette initiative se concentrera sur les 13 millions de citoyens restants qui attendent encore d'être connectés à Internet en Tanzanie ».

La collaboration entre les opérateurs télécoms est le fruit du programme Connected Society de GSMA. L'Association mondiale des opérateurs télécoms prévoit de lancer des projets similaires de partage d'infrastructures télécoms dans d'autres marchés d'Afrique au cours des trois prochaines années.

(Source : Agence Ecofin, 28 juillet 2016)



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Téléchargement illégal: Hadopi a doublé le nombre de dossiers transmis à la justice en un an

Téléchargement illégal: Hadopi a doublé le nombre de dossiers transmis à la justice en un anPIRATAGE - Annoncée morte et enterrée pour 2022, la Hadopi est bien vivante et n’a jamais autant transmis de dossiers à la justice…



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Affaire du policier corrompu : Les auteures de la vidéo identifiées

L'enquête dans l'affaire du policier filmé en train de se faire corrompre par de jeunes dames fait son bonhomme de chemin. hier, c'est le blogueur et administrateur du site Pagesenegal.info, Seydina Mbodj, qui a été auditionné par des éléments de la Dic pendant plus de 10 tours d'horloge. A en croire les sources du journal EnQuête, les policiers ont convoqué le blogueur car il fait partie des premiers internautes à publier la vidéo sur sa page Facebook. Il s'y ajoute qu'elle a été consultée par plus de 150 000 personnes. Interrogé à ce propos, M. Mbodj a révélé aux enquêteurs qu'il a trouvé la vidéo sur son fil d'actualité. Mais, selon ces sources, le blogueur a fini par cracher le morceau en donnant le nom de la personne qui a été la première à poster la vidéo incriminée. Il s'agit d'un certain Ch. Gu. Et c'est à partir du profil de celui-ci que les enquêteurs ont pu identifier les deux "corruptrices" aidés en cela par le blogueur qui a donné leurs noms, Sokhna Nd. et Aïda. D'ailleurs, ce n'est pas un secret de polichinelle puisqu'en regardant la vidéo, on entend les noms de Sokhna et Aïda.

Selon toujours les sources de nos confrères, lorsque les enquêteurs ont accédé à leur profil, elles ont pu être formellement identifiées par le policier A. Diallo. Maintenant, la police est toujours à leurs trousses pour les appréhender. Quant au policier ripou, il est retourné à la cellule du Camp du Camp Abdou Diassé où il est mis aux arrêts.

(Source : Leral, 28 juillet 2016)



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A l'UAM, les TIC sont au coeur du dispositif

Les technologies de l'information et de la communication (TIC) sont au coeur du dispositif de l'Université Amadou Mahtar Mbow (UAM) de Diamniadio, notamment pour la gestion administrative et pédagogique, a estimé le professeur Ibrahima Niang, directeur de l'informatique et des systèmes d'information de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD).

En attestent les deux centres qui y seront érigés, notamment le Centre de formation à distance et celui de la facilitation pour l'utilisation des TICS, a ajouté le professeur Niang qui s'exprimait, mercredi à Saly-Portudal (Mbour), au séminaire d'élaboration des cadres de référence des centres et instituts de l'UAM.

"Les TIC constituent un aspect très important dans le dispositif, parce qu'aujourd'hui, on ne peut pas parler de l'enseignement supérieur sans parler des TIC'', a soutenu le directeur de l'informatique et des systèmes d'information de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD)

A l'en croire, l'informatique sera "un outil indispensable" pour l'accompagnement du système LMD (Licence-master-doctorat) et pour toute la partie liée à la gestion administrative de l'établissement.

Ibrahima Niang a relevé qu'il y a aujourd'hui une innovation dans l'utilisation des TIC et que toute les universités publiques sénégalaises sont en train d'améliorer leur système d'information pour une meilleure prise en charge des étudiants et une meilleure prise en charge des aspects pédagogiques, aussi bien pour les inscriptions que pour les évaluations.

"L'UAM va aller dans le même sens et la mise en place du centre de formation à distance va permettre de sauter des étapes. Parce qu'au niveau des anciennes universités, on est obligé de passer par tout ce qu'on a appelé les présentiels enrichis. On avait des enseignants qui ne faisait du présentiels", a relevé Ibrahima Niang.

A l'UAM, les gens peuvent aller directement sur l'enseignement à distance, en favorisant, dès le début, le personnel enseignant sur tout ce qui scénarisation et mise en ligne de cours, a dit le directeur de l'informatique et des systèmes d'information de l'UCAD.

(Source : APS, 28 juillet 2016)



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