Quand en 2004 est né le projet « Internet et dyslexie », les réseaux numériques balbutiaient encore, Internet commençait son ascension, et la dyslexie n’existait que pour les enfants et les adultes qui en souffraient ou en avaient souffert… ! La généralisation de l'usage d'Internet a changé la donne.
Nous vous en avions parlé juste après les faits. En Septembre dernier, Sanmay Ved, ancien employé de Google, réussissait à déposer le nom de domaine Google.com, directement via la plateforme d'enregistrement de... Google. L'homme n'était resté propriétaire dudit domaine que durant 60 secondes, avant que la transaction ne soit annulée.
Les opérateurs des télécoms se livrent une guerre sans merci pour s'attirer les faveurs du plus grand nombre d'abonnés. À ce petit jeu, tous les coups sont permis, ou presque. Free Mobile a ainsi décidé de tenter de reconquérir ses anciens abonnés en proposant son forfait illimité à un tarif... très alléchant.
Dans un rapport sur les Dividendes numériques, publié le 13 janvier, la Banque mondiale brosse un tableau mitigé des progrès réalisés grâce aux nouvelles technologies. Elle rappelle que 60% de la population mondiale reste exclue d'une économie « numérique » en plein essor.
Plus de croissance, plus d'emplois, de meilleurs services publics : autant de promesses non tenues par la révolution numérique, qui a vu tripler ces dix dernières années la part de la population mondiale connectée, note le rapport de la Banque sur les Dividendes numériques.
Une large partie du monde reste exclue de ces avancées, qui contribuent à creuser les inégalités en rendant les personnes aisées et connectées plus productives – mais pas les autres, considérées comme « non qualifiées » dès lors qu'elles ne connaissent pas les nouvelles technologies. Au total, 4,3 milliards de personnes, en Asie du Sud et en Afrique, n'ont pas accès à internet, tandis que 800 millions sur la planète n'ont pas non plus de téléphone portable.
« Pour chaque personne connectée dans un pays en développement, trois autres ne le sont pas, voire vingt autres dans certains pays », souligne le document. Au Cameroun, au Ghana, au Kenya et en Ouganda, plus de trois usagers sur quatre doivent se rendre dans des cafés internet pour se connecter, à des tarifs élevés pour des connexions lentes.
Un tableau contrasté en Afrique
Communiquer, se divertir, être sur les réseaux sociaux, rechercher des informations… Tels sont les usages universels du web. Particularité africaine cependant soulignée par l'étude de la Banque mondiale : un usager sur quatre, au Sud du Sahara, déclare se servir d'internet pour obtenir des informations médicales ou pédagogiques.
L'Afrique est en pointe dans le mobile banking, avec le succès du système M-Pesa en Afrique de l'Est. Dans cette région, plus de 40% des adultes paient leurs factures par téléphone, contre 2% de moyenne mondiale. En Chine, 8 millions d'entrepreneurs vendent des biens à travers le monde via internet, un niveau que n'ont pas encore atteint les pays africains qui visent, eux aussi, l'émergence.
Sur des marchés de niche, les nouvelles technologies font certes une différence, comme la plate-forme Anou au Maroc, qui permet à des artisans des zones rurales d'exporter directement, sans intermédiaires. Au Kenya, la plate-forme iProcure connecte de manière non moins efficace à des acheteurs les fournisseurs de produits agricoles, dont la fiabilité est testée par le site.
Des sites de vente de produits de grande consommation comme Konga au Nigeria et Takealot en Afrique du Sud, redistribuent les cartes dans le secteur de la distribution de la même manière qu'aux Etats-Unis, où 25 % des ventes d'ordinateurs et d'électro-ménager se font en ligne.
Mais de manière générale, leur essor reste entravé par les obstacles bien connus du monde des affaires africain : l'absence de services postaux fiables pour délivrer des colis, le faible taux de bancarisation et des moyens de paiement en ligne adaptés au marché – moins de 10% de la population dans les pays en développement disposent d'une carte de crédit et seuls l'Afrique du Sud et le Maroc proposent plus de trois services différents de paiement en ligne de type PayPal.
Les limites de l'Afrique 2.0
Selon le rapport, les firmes africaines de plus de 5 employés qui se servent d'internet voient leurs salariés réaliser des ventes 4 fois supérieures à celles des entreprises sans internet. Une étude réalisée en 2014 auprès de 2 300 entreprises dans 6 pays (Ghana, Kenya, RDC, Tanzanie, Ouganda et Zambie) permet de mieux saisir l'impact du numérique sur l'économie. Dans les manufactures et les services, la part des entreprises connectées va de 22% en Tanzanie à 73% au Kenya. Sans surprise, 41% des sociétés kényanes opérant dans les services gèrent leur inventaire à l'aide d'internet, contre 12% en Ouganda et 8% en RDC.
Le rapport de la Banque mondiale relève qu'internet ne facilite guère l'accès à l'administration en Afrique subsaharienne. Il n'est pas non plus la principale source d'information (seulement pour 2% de la population, comme en Asie du Sud). Les médias traditionnels, radio-télévision et journaux imprimés, ont encore un bel avenir.
En revanche, internet joue un rôle important de mobilisation sociale via Twitter et Facebook, observé durant les Printemps arabes et dans plusieurs pays d'Afrique où des sites citoyens moins connus que Uhashidi au Kenya existent aussi, comme Huduma au Kenya, U-report en Ouganda et Sauti Wa Wananchi (« La voix des citoyens », en swahili) en Tanzanie.
Les recommandations de la Banque mondiale
La Banque mondiale préconise de rendre universel l'accès à internet, et d'augmenter les dépenses d'éducation pour alphabétiser les 20% de la population mondiale qui ne savent ni lire ni écrire. Sans surprise, l'institution financière internationale plaide par ailleurs pour la libéralisation du marché numérique. Elle rappelle que les seuls pays à avoir encore un monopole d'Etat sur les fournisseurs de services internet et de télécommunications mobiles, comme Djibouti, l'Erythrée et l'Ethiopie, ne font pas aussi bien que les autres en termes d'accès aux technologies.
Dans un chapitre détaillé consacré à la Somalie, le rapport montre que des pays en conflit trouvent des moyens de survie grâce à internet et le téléphone mobile, qui facilite notamment des transferts d'argent importants faits par la diaspora somalienne. Pas moins de 38% des Somalis salariés sont payés via le téléphone mobile, contre 25% des Kényans. Revers de la médaille : le groupe islamiste armé des Shebabs se sert aussi des nouvelles technologies pour recruter et répandre son idéologie.
Sabine Cessou
(Source : RFI, 29 janvier 2016)
Le groupe japonais SoftBank a annoncé l'ouverture d'une boutique qui sera entièrement animée par des robots Pepper à Tokyo.
Les français achètent de plus en plus sur Internet, 2015 aura été une année record pour le e-commerce. Les sites marchands ne cessent de fleurir.
Elemark, l’application mobile qui analyse le sang sous Android Elemark peut détecter la glycémie, le taux de cholestérol, la protéine C réactive, certains marqueurs de cancers, de maladie des reins ou encore de grossesse. Les tests sont bien entendu enregistrés, mais également expédiés dans un « cloud » dédié, pour être partagés avec les professionnels de santé ou …
Cet article Analyse de sang sous Android avec Elemark est apparu en premier sur Les nouvelles technogies en Afrique.
Le Président de la République Macky Sall a pris part, dimanche à Addis-Abeba (Ethiopie), à la troisième réunion de haut niveau sur un projet d'installation d'une infrastructure de TIC en Afrique au sud du Sahara dit "Smart Africa" sur invitation du président rwandais Paul Kagamé, a constaté l'APS.
Tenue à l'hôtel Shareton en plein centre ville d'Addis-Abeba cette rencontre à réuni plusieurs chefs d'Etat africains dont Macky Sall, Roch Marc Christian Kaboré (Burkina Faso), Ibrahim Boubakar Keita (Mali), Ali Bongo Odimba (Gabon).
Les différents chefs d'Etat, sur invitation de Paul Kagamé, ont échangé autour des projets mis en place dans le cadre de Smart Africa dont le but est la création d'une structure de hautes technologies de l'information et de la communication (TIC) pour connecter l'Afrique sub-saharienne.
Constatant leur retard dans le domaine des TIC, plusieurs pays africains avaient décidé en 2013 à Kigali (Rwanda) de regrouper leur force "pour aller plus vite" dans le processus d'installation d'infrastructures numériques capables de porter les besoins en TIC de la partie sub-saharienne du continent.
Les 11 pays membres de Smart Africa Alliance (Burkina Faso, Gabon, Kenya, Mali, Rwanda, Sénégal, Soudan du Sud, Tchad, Ouganda, Côte d'Ivoire et Angola) avaient décidé de procéder à une levée de fonds de 300 milliards de dollars d'ici 2020 pour construire une infrastructure TIC clé en main qui permettrait de connecter à l'internet toute l'Afrique sub-saharienne.
En connectant toute l'Afrique sub-saharienne, les neuf pays qui forment la Smart Africa Alliance sont sûrs que cela facilitera l'adoption d'un certain nombre de nouveaux usages comme la gouvernance numérique, la télémédecine, l'enseignement en ligne.
Au cours de cette réunion d'Addis-Abeba, il a été décidé l'octroi de bourses à des étudiants africains évoluant dans le domaine des TIC. Outre les étudiants qui sont à l'université de "Carnegie Mellon" de Kigali, ceux de l'Ecole supérieure multinationale des télécommunications (ESMT) basée à Dakar pourraient bénéficier des bourses de Smart Africa.
"Un arrangement est en cours pour octroyer des bourses aux étudiants ouest-africains qui sont à l'ESMT de Dakar", a expliqué un document de compte-rendu de la dernière réunion de Conseil d'administration de Smart Africa.
(Source : APS, 31 janvier 2016)
Face à la rumeur grandissante faisant état d'un blocage imminent des services de voix sur IP, tels Viber, Skype et Whatsapp, par les entreprises de téléphonie mobile opérant en Algérie, le président-directeur général d'Algérie Telecom, Azouaou Mehmel, a affirmé que ce projet « n'est pas à l'ordre du jour ».
Sur la webradio « Radio M », le patron du leader du marché algérien des communications mobiles a tout de même fait observer que cette question préoccupe les instances de l'Union internationale des télécommunications.
Celle-ci mènerait une réflexion sur l'impact des services d'appels gratuits sur les entreprises de télécommunications qui détiennent une licence d'établissement et d'exploitation d'un réseau de téléphonie mobile.
(Source : CIO Mag, 31 janvier 2016)
Le nouveau smartphone du groupe coréen devrait être présenté à la veille du Mobile World Congress, le 21 février prochain…
Facebook vient de modifier ses conditions d’utilisation, interdisant désormais aux personnes qui ne disposent pas de licence de s’échanger et de vendre des armes à feu.
Le forum régional de l'Union internationale des télécommunications (ITU) sur les aspects économiques et financiers des technologies de l'information et de la communication (TIC) pour l'Afrique s'est ouvert lundi à Abidjan. Plusieurs personnalités de l'économie numérique tant sur le plan local qu'international ont pris part à la cérémonie d'ouverture.
Parmi elles figuraient M. Jean-Jacques Massima, le représentant du Secrétaire général de l'UIT, André Apété, directeur de cabinet du ministère de l'Economie numérique et de la Poste, Bilé Diéméléou, directeur général de l'Autorité de régulation de télécommunications/TIC de Côte d'Ivoire (ARTCI).
Les interventions ont mis en relief les politiques à mettre en œuvre afin de permettre à l'Afrique de profiter des acquis du trafic internet. Il ressort des différentes présentations que le nombre de points d'échanges internet sur le continent est passé de 17 à 35, entre 2008 et 2016.
Il existe un gain financier lié au trafic à cause de l'optimisation de la bande passante, dont le coût reste encore élevé. Le large bande étant très peu développé. Michuki Mwangi de l'Internet Society (ISOC) a fait remarquer que l'Afrique utilise 5% du trafic. Le reste provient du trafic international. L'objectif à l'horizon 2020 est donc d'inverser la tendance, en utilisant 80% du trafic. Cela nécessite le développement de contenus locaux et des adresses IP ; la promotion du trafic au niveau régional, en connectant les Etats ; la construction des infrastructures large bande ; des mesures fiscales pour favoriser l'utilisation des contenus locaux.
Il est bon de souligner que cette plateforme d'échanges sur l'économie numérique s'achève mardi. Elle sera suivie de deux réunions : la Réunion du Groupe régional de travail de la commission d'étude 3 de l'UIT pour l'Afrique (SG3RG-AFR), du 29 au 21 janvier, et la Réunion du Groupe régional de travail de la commission d'étude 3 de l'UIT pour l'Afrique (SG17RG-AFR), le 22 janvier.
Anselme Akéko
(Source : CIO Mag, 18 janvier 2016)
De nos jours, banque et technologies de l'information et de la communication vont de pair. En conséquence, pour la satisfaction des clients, les banques doivent adapter l'esprit d'innovation dans leurs services.
En effet, l'outil informatique et l'internet facilitent de jour en jour notre vie quotidienne à travers des applications mobiles, des services en ligne. Consciente de tous ces défis, la Société générale a initié InnovDays avec comme thème « Réinventons ensemble l'expérience client en agence ».
Pendant deux jours, du 30 au 31 janvier, les douze équipes sélectionnées, venues de quatre pays, se retrouvent à Dakar pour participer au Bootcamp#1. Ce dernier permettra aux candidats de découvrir les caractéristiques, attentes clients, chiffres clés de la Société générale ; une Présentation d'exemples africains emblématiques inspirants et une présentation des tendances en matière d'innovation en agence.
Pour rappel, les principales objectifs de ces InnovDays demeurent la simplicité, l'accessibilité et l'enthousiasme.
(Source : Social Net Link, 30 janvier 2016)
Objectif du Hackathon Innovdays
Autrement, « Faciliter la vie du client et lui permettre de trouver rapidement les réponses à ses questions (des services de réservation de créneaux en ligne , espaces digitaux dédiés, accueils proactifs, catalogue sur tablettes, écrans tactiles, boîtiers qui permettent de télécharger directement une appli mobile,…) ; Rendre accessible 24 sur 24 l'accès à des services et à de l'expertise/ conseil (effectuer une partie de certains processus en ligne ? services applicatifs ? agence digitale ?) ; Devancer les attentes clients ? (Proposer des services additionnels ? S'assurer de sa satisfaction ?) »
Il faut aller avec l'air et les méthodes de son temps et les pages jaunes l'ont bien compris. L'annuaire de référence se décline maintenant en version numérique avec en prime la plateforme Hellojobs.com.
La transition numérique est en marche à la société Afripages, éditrice des fameuses « pages jaunes » le répertoire professionnel. En effet, elle vient de lancer la plateforme digitale Hellojobs.com dédiée au marché de l'emploi au Sénégal et dans les pays membres de l'Union monétaire ouest-africaine (UEMOA). « Créer et rebrander pour répondre aux maximum aux normes internationales en vigueur sur la toile, Hellojobs.com se donne pour mission de contribuer à réduire le chômage et sous emploi au Sénégal. On a pris en compte la mobilité professionnelle des jeunes chercheurs d'emploi du moment pour ouvrir à la sous-région plus de 50 000 CV mis à jour régulièrement par nos soins » a déclaré Abdoulaye Camara, le directeur général d'Afripages lors de la cérémonie de lancement officielle de la plateforme. Avec son équipe, à travers Hellojobs.com ils espèrent parvenir à mettre en relation des demandeurs d'emploi et des probables employeurs avec un profilage ciblé qui diminuent au maximum les possibilités les erreurs de casting. Il faut dire qu'avec 15.000 entreprises dans sa base de données cette méthode va booster ses nombres de visites qui sont en constante progression depuis 3 ans.
La plateforme est responsive-design, ainsi, elle peut être adaptée à tous les moyens de lecture notamment les Smartphones. Les entreprises internationales intéressées pourront y trouver toutes les informations importantes sur un secteur donné au Sénégal en consultant et en s'abonnant à la plateforme digitale.
Spécialisée dans l'édition et la diffusion d'annuaires professionnels en version papier et digitale en ligne sur internet, Afripages édite les répertoires au Sénégal, au Burkina Faso et au Mali.
Amayi Badji
(Source : Réussir Business, 31 janvier 2016)
Dans la guerre que se livrent les opérateurs pour séduire de nouveaux abonnés tout est permis. Free veut récupérer des abonnés partis chez la concurrence et il met le paquet.
Facebook a fait savoir vendredi qu'il allait entreprendre d'interdire aux utilisateurs de coordonner des ventes privées d'armes à feu via son réseau social. Cette décision intervient sur fond de débat ...
WEB - Les commerçants qui ont une licence pourront cependant continuer leur commerce...
TECHNOLOGIE - La technologie ne serait pas prête pour le prochain iPhone...
BAS DEBIT - A l’heure du déploiement massif des objets connectés, le secteur étend ses ailes à des zones où le Wifi ou le Bluetooth ne passent pas. C’est le cas des Grenoblois de Idosens, avec leurs capteurs bas débit. Explications…
Si vous aviez prévu de vous offrir une Xbox One, c'est le moment où jamais : l'enseigne de grande distribution Auchan vient de confirmer qu'il avait prévu de brader quelques unités de la console au moitié de son prix d'origine. Une sacrée bonne affaire !
Vous avez forcément un jour été confronté à ce plug-in Java. Demandant à peu près autant d'attention qu'un nouveau né, il avait la fâcheuse habitude de réclamer d'incessantes mises à jour. Pour ne rien arranger, il était souvent accusé de laisser traîner de vilaines failles de sécurité. Conscient des soucis multiples de sa création, Oracle a annoncé sa mise à mort prochaine.
Nous vous en parlions lorsqu'elle avait été aperçue sur le site, Facebook Live est la nouvelle fonctionnalité de live streaming du réseau social. Après une courte phase de test, un premier déploiement vient d'être effectué. Tous les utilisateurs américains de l'application iOS y ont désormais accès.
Un Canadien, ancien ingénieur, est parvenu à construire un exosquelette donnant une force surhumaine. Au cours d'un nouveau test, il a fait une démonstration des capacités des "jambes" qu'il a conçues en soulevant... une voiture.
Google a révélé avoir versé à Sanmay Ved, l'ancien employé qui avait réussi à posséder "google.com" pendant une minute, la somme de 12 012,26 dollars.
En 2015, les chiffres d'affaires des sites de "cash games" ont baissé de plus de 10 %. Une baisse partiellement compensée par les paris sportifs.
Pour traquer des pédophiles, le FBI a confirmé avoir exploité un site pédopornographique et permis la diffusion de 23 000 images et vidéos.
HSBC a annoncé vendredi que ses sites internet de banque de détail au Royaume-Uni avaient été momentanément fermés à la suite d'une tentative d'intrusion informatique, sa deuxième interruption de service ...
Oracle a tranché et demande aux développeurs de ne plus utiliser le plug-in Java.
Amazon.com a annoncé jeudi pour le quatrième trimestre 2015 une hausse nettement moins marquée que prévu de son bénéfice, le géant du commerce électronique ayant été confronté à une hausse de ses coûts ...
L'outil de diffusion de vidéo en direct de Facebook, Live Video, qui était en test auprès de plusieurs personnalités, vient d'être étendu à tous ses utilisateurs américains.
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Free a été condamné par le tribunal de Commerce de Paris pour avoir considéré abusivement les mails de la société Buzzee comme du Spam.
WEB - Oracle va mettre son outil, devenu une faille de sécurité majeure, au placard...
Le bouton Like (J'aime) avait été l'une des icônes les plus représentatives de Facebook depuis la création du réseau social. Pourtant, avec le temps, les utilisateurs l'ont trouvaient bien (trop) simple, réclamant notamment un bouton Je n'aime pas. Facebook a réagi en testant il y a quelques mois ses Réactions. Et elles arrivent bientôt !
De mémoire, on n'avait jamais vu de ransomware si vicieux. Capable de toucher une grande majorité des utilisateurs de terminaux Android, ce logiciel malveillant - qui pour rappel va prendre en otage vos données personnelles et ensuite vous demander une rançon pour ne pas les exploiter - menace donc de diffuser votre historique web. Et là, c'est le drame.
Qui ne connait pas le Monopoly ? Depuis plus de 80 ans, le jeu de société fait le plaisir des petits et des grands. Et les parties deviennent parfois très intenses. Il y a les chanceux, les malchanceux, les tacticiens... et parmi ceux-ci, il peut y en avoir certains très énervants. Voici la stratégie la plus odieuse pour gagner au Monopoly.
Avec plus de 1,5 milliard d'utilisateurs actifs, pas étonnant que Facebook soit l'un des sites les plus fréquentés au monde. Il est donc tout aussi logique que des personnes malintentionnées se servent du réseau social pour diffuser leurs arnaques ("scams" en anglais). En voici une nouvelle.
Le mercato des postes commence t-il déjà en ce début d'année 2016 ? C'est donc à qui piquera les cerveaux de l'autre ? Pas vraiment chez Twitter, qui voit 5 de ses dirigeants se faire la malle volontairement. A ce jeu, Kevin Weil quitte Twitter pour rejoindre Instagram, qui appartient à... Facebook ! Mais il n'est pas le seul à fuir un bateau qui semble en train de couler, malgré les efforts du PDG Dorsey, écopant tant bien que mal.
Il semblerait que la navigation privée du navigateur Microsoft Edge connaisse de sérieux ratés.
Alibaba, le numéro un chinois du commerce en ligne, a publié jeudi un chiffre d'affaires trimestriel en hausse de 32%, supérieur aux attentes des analystes, soutenu par un bon niveau de ventes pendant ...