Nouvel An: baisse du nombre de SMS envoyés entre minuit et 04H00
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Que cache l'autorité de régulation des télécommunications et des postes ? En tout cas, les auditeurs de l'Armp qui s'y sont rendus pour enquêter sur la passation des marchés de la gestion 2012, n'ont pu accéder à la comptabilité de la structure pour faire leurs investigations et évaluer les fractionnements potentiels. « Nous n'avons pas eu accès à la comptabilité de l'Agence pour nous assurer qu'il n'y a pas eu de cas de fractionnement », ont inscrit les enquêteurs dans leur rapport.
De plus, pour l'ensemble des marchés revus, ils ont noté l'absence de certains documents relatifs à la passation, à l'exécution et au paiement des marchés. Et de rappeler que, conformément à l'article 54.5 du Cmp, « les autorités contractantes ne peuvent en aucun cas fractionner les dépenses ou sous estimer la valeur des marchés de façon à les soustraire aux règles qui leur sont normalement applicables en vertu du Cmp ».
(Source : Seneweb, 31 décembre 2014)
Noeud routier, la ville de Diamniadio va devenir un pionnier en matière de ville numérique. Les travaux commenceront en 2016 pour se terminer cinq ans plus tard.
Lors de l'atelier de restitution de l'étude de faisabilité d'une ville numérique à Diamniadio à la mi-décembre, le ministre des Postes et Télécommunications du Sénégal, Yaya Abdoul Kane, a révélé que le Sénégal et la Banque africaine de développement (BAD) avaient accepté de financer ce projet. L'État sénégalais mettra 10 milliards de francs CFA et la Banque africaine de développement, 50 milliards.
Derrière la ville, un projet de hub numérique
Aménagée sur un site de 25 hectares, la ville numérique de Diamniadio devrait se voir dotée d'infrastructures d'accès haut débit, d'immeubles intelligents, de centres de données, de centres de formation… L'objectif est multiple à travers cet aménagement infrastructurel. Selon le ministre, à travers la ville numérique de Diamniadio et les facilités dont elle va disposer, le pays vise à devenir non seulement le carrefour technologique de l'Afrique de l'Ouest mais aussi l'une des grandes destinations numériques sur le continent. Le Sénégal voudrait ainsi se mettre à la hauteur de pays comme l'Afrique du Sud, l'île Maurice, le Nigeria, le Maroc, le Kenya avec le dessein assumé d'attirer un grand nombre d'investisseurs dans le domaine des NTIC.
Le numérique, "un moteur" du développement
Pour le ministre Yaya Abdoul Kane, "l'importance du numérique pour le développement du Sénégal est désormais établie". De fait, le chantier de la ville numérique de Diamniadio doit être perçu comme un signal fort en vue de transformer le potentiel porté par l'expertise de nombre de Sénégalais "en véritable levier de croissance pour l'économie du pays". Poussant la logique jusqu'au bout, le Sénégal prévoit d'implanter des villes similaires à Diass, où se trouve le grand aéroport Blaise Diagne, Sébikotane où se trouve l'école William-Ponty, formatrice des premiers cadres africains pendant la colonisation, Saint-Louis, l'ancienne capitale du Sénégal, et Ziguinchor, principal centre urbain de la région méridionale du pays.
Malick Diawara
(Source : Le Point Afrique, 31 décembre 2014)
En 1999 le paysage médiatique du Sénégal change. Celui qui bouleverse cet ordre établi : Abdou Salam Fall créateur de Seneweb, le premier portail d'informations sénégalais. Né en 1976 à Rufisque, A. Salam Fall fait son cycle primaire au Sénégal et en Côte d'Ivoire et fait ses études supérieures en Informatique à l'université Strayer à Washington District of Columbia où il obtiendra quelques années plus tard, son Bachelor en Informatique.
Il travaille par la suite comme ingénieur à Century Link, une agence américaine de télécoms durant plusieurs années. A l'époque il fait un constat : malgré l'essor de l'internet dans le monde, le contenu de l'Internet au Sénégal restait statique et la diaspora n'ayant pas accès aux journaux en papier restait coupée de toutes les informations relatives à leur pays d'origine.
Il mit donc en place le portail et en quelques mois ce dernier connait un succès retentissant aussi bien auprès des résidents qui avaient à leur disposition un espace virtuel d'échange mais aussi auprès des expatriés qui avaient leur pays à portée de clics. Seneweb est classé à la 11millième place des sites les plus visités sur internet parmi 234 millions dans le monde et est premier du classement général "Annuaires et guides internet" par le Hit Parade, le seul classement par audience des sites francophones. Élu Homme de l'année 2013, voici celui qui a balisé le chemin de la presse en ligne au Sénégal.
(Source : Think Create Do, 31 décembre 2014)
L'Agence de développement local (ADL) a offert du matériel informatique d'une valeur de 113 millions de francs CFA à 15 collectivités locales de Foundiougne, dans la région de Fatick (ouest), pour des formations à distance au profit des élus locaux.
Selon Lamine Sarr, son directeur chargé de l'appui aux acteurs et de la capitalisation, à terme, cette initiative vise à faciliter le dialogue des territoires, "acte majeur de l'acte 3 de la décentralisation", la dernière réforme territoriale visant à organiser le Sénégal en "territoires viables, compétitifs et porteurs de développement durable".
Cet équipement offert par l'ADL entre dans le cadre de son Programme d'amélioration de la gouvernance et du développement des territoires, a rappelé M. Sarr lors de la cérémonie de réception de ce lot de matériel.
"Il est destiné à la mise en place de classes numériques dans les collectivités pour permettre aux élus de bénéficier sur place de formations à distance", a précisé M. Sarr.
Selon lui, cet équipement devrait permettre de "faire des économies dans la formation des élus qui, en général, nécessite des ressources énormes sur le plan humain", matériel, financier, mais aussi en termes de temps, a-t-il ajouté.
Quinze collectivités locales sont concernées pour cette première phase qui donne la priorité à celles du pôle-test de la Casamance où le programme a été lancé.
"En dehors des collectivités du pôle Casamance, a-t-il poursuivi, les conseils départementaux de Kaffrine, Tambacounda ou encore de Foundiougne ont bénéficié de cet appui, de même que des communes", parmi lesquelles Ouakam, Bokidiawé, Dabia, Yeumbeul Nord et la ville de Pikine.
"Chacune de ces collectivités bénéficiaires a reçu en matériel informatique : 15 ordinateurs fixes, un ordinateur portable, un tableau blanc interactif, un écran de projection et du matériel de sonorisation, soit un appui d'une valeur de 7,5 millions de francs CFA", a-t-il indiqué.
L'ADL ne compte pas se limiter à ces 15 collectivités, a assuré M. Sarr. "Ce programme, a-t-il souligné, est destiné à l'ensemble des collectivités locales du Sénégal''.
''Nous allons chaque année équiper de nouvelles collectivités locales, et nous réfléchissions à un financement innovant pour accélérer l'équipement des autres", a-t-il indiqué.
(Source : APS, 31 décembre 2014)
Un sans domicile fixe à qui un célèbre auteur de vidéos virales avait donné 100 dollars l'a dépensé en offrant de la nourriture à d'autres personnes dans le besoin... Mais selon un témoin de la scène, tout cela était manigancé.
A ce moment de l'année en 2013, de nombreuses études désignaient 2014 comme l'année de l'Internet des objets. La prédiction était partout. Bien sûr, il y avait quelques sceptiques, mais le buzz entourant les maisons intelligentes, le quantified-self (le fait de suivre et mesurer le moindre de ses faits et ...
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Google publie son classement des recherches les plus populaires de l'année. Un reflet plutôt révélateur des préoccupations hexagonales.
Le Syndicat national de l'Enseignement élémentaire (Sneel) prône l'introduction du numérique dans les pratiques pédagogiques pour améliorer les apprentissages. C'est son Secrétaire général, M. Cheikh Alassane Sène, qui l'a fait savoir vendredi dernier à l'occasion d'un Conseil national placé sous le signe : « le numérique instrument indispensable à la bonne marche du système éducatif » que le Sneel a initié.
« Le numérique permet d'améliorer l'efficacité de l'apprentissage en développant des pratiques pédagogiques plus adaptés aux rythmes et aux besoins de l'enfant, plus interactives et attractives ». Ces propos ont été tenus par le Secrétaire général du Syndicat national de l'Enseignement élémentaire (Sneel), Cheikh Alassane Sène, vendredi 26 décembre, à l'Ecole nationale de formation en économie familiale et sociale (Enfefps).
C'était à l'occasion de leur conseil national qui était placé sous le signe : « le numérique instrument indispensable à la bonne marche du système éducatif ».
Dans son rapport introductif, Cheikh Alassane Sène a relevé que « le numérique permet aussi à l'élève d'apprendre en ayant plaisir à apprendre aux enseignants de diversifier leurs enseignements et aux parents de mieux suivre et comprendre la scolarité de leurs enfants ».
En attendant l'entrée effective du numérique qui permettra à l'enseignant de différencier la pédagogie, le Sneel estime que le numérique à l'école requiert un certain nombre de préalables pour son fonctionnement. Il s'agit souligne le Sg du Sneel, de « l'équipement des écoles au numérique, de la connexion haut débit, de la formation de tous les enseignants pour la transformation des pratiques par l'introduction d'épreuves mesurant les connaissances et des savoir-faire dans le domaine des technologies ».
« Le tableau numérique se substitue au tableau noir et le maître a la possibilité d'illustrer son enseignement sans difficulté majeure. Les enseignants peuvent éditer les cours, les diffuser et les partager... », a précisé le SG du Sneel.
(Source : Sud Quotidien, 29 décembre 2014)
La 40e édition de la Foire internationale de Dakar (Fidak) se poursuit toujours au CICES jusqu'au 1er janvier 2015. L'évènement est marqué cette année par une participation remarquable des principales entreprises de vente en ligne. Les grandes entreprises de E-commerce au Sénégal ont presque toutes répondu présent à la Fidak.
A quelques lieux du pavillon brun du CICES qui abrite cette rencontre internationale du commerce se dressent les stands des plateformes comme Jovago, HelloFood, Carmudi et Kaymu.
Le principal point commun de ces plateformes est qu'elles appartiennent toutes à une même structure : Africa Internet Group (AIG).
La Fidak est donc l'occasion toute trouvée par ces sites de e-commerce pour se rapprocher davantage des populations dont les habitudes de consommation ont été plus ou moins modifiées par les offres de e-services de plus en plus nombreuses sur le territoire sénégalais.
L'achat en ligne a été cette année, la grande tendance des internautes du pays grâce aux solutions alternatives au paiement par carte bancaire qui ont été proposées par les plateformes.
Les sites de e-commerce ont ainsi profité de cette rencontre avec le grand public pour présenter leurs plateformes web et mobiles mais aussi de mieux leur expliquer les nouvelles tendances des paiements en ligne au Sénégal.
(Source : Social Net Link, 30 décembre 2014)
Pour un financement d'une soixantaine de milliards de Fcfa, le Sénégal, dans son programme Parc des technologies numériques (Ptn) inscrit dans le Pse, envisage de construire une ville numérique dans le pôle urbain de Diamniadio.
Le Sénégal ambitionne de faire de économie numérique un pourvoyeur d'emploi à l'image des Philippines, pays où le secteur emploie un million de personnes et contribue à hauteur de 30% au Pib. Notre pays compte aussi se hisser à la première place dans la sous région et parmi les cinq grandes destinations numériques de l'Afrique, au même titre que l'Afrique du sud, l'Egypte et l'île Maurice. Pour impulser cette volonté, le Sénégal s'engage dans le développement d'une ville numérique dont le dynamisme économique assurera le rôle de moteur économique du nouveau pôle de développement autour de Diamniadio. Pour la réalisation de ce projet, la Banque africaine de développement (Bad) octroie un financement d'une cinquantaine de milliards de Fcfa et l'Etat du Sénégal une enveloppe de 10 milliards de Fcfa.
Selon Yaya Abdoul Kane, ministre des Postes et des Télécommunications, qui a présidé, hier à Dakar, l'atelier de restitution de faisabilité de la ville numérique, toutes les actions sont mises en oeuvre pour que le secteur des télécommunications et des Tic puisse pleinement jouer son rôle de catalyseur et de support du développement économique et social.A son avis, la création de cette ville numérique est une réponse à une des préoccupations des acteurs du secteur : disposer d'infrastructures de base et de facilités d'accompagnement de l'essor d'activités numériques à partir du parc technologique qui en constitue le coeur. “ Tel que conçu, ce projet contribue à créer les conditions d'implantation d'infrastructures nécessaires à l'émergence du nouveau pôle urbain de Diamniadio”, souligne le ministre. Il soutient également qu'à travers la ville numérique, l'Etat souhaite apporter une réponse nouvelle à la forte demande des acteurs en infrastructures d'accès au débit, d'immeubles intelligents, de centres de données et de formation.
Pour Mouhamet Diop, expert des Tic et un présentateur de l'étude faisabilité du projet, le Parc des technologies numériques (Ptn) permettra de créer un espace attrayant pour les Investissements directs étrangers (Ide) dans le secteur des Tic. Ce parc pourrait aussi favoriser la promotion de l'incubation d'entreprises nouvelles et la création de plateformes pour des solutions innovantes.
Abdou Diaw
(Source : Le Soleil, 17 décembre 2014)
Les préalables pour avoir la plus grande plateforme régionale
L'objectif de l'Etat du Sénégal est également d'avoir la première et la plus grande plateforme régionale en faisant des infrastructures numériques un avantage de compétitivité. Il faut relever trois phases pour réaliser ce vaste programme. La première correspond à la construction du Parc des Technologies numériques (Ptn) à Diamniadio dès 2015. Le projet de ville numérique sera bâti sur une superficie de 25 hectares dans cette première phase. La formulation du projet sera mise en phase avec les autres initiatives dont les objectifs sont liés, notamment le projet résidentiel de Diamniadio, le projet de Business park des affaires, la cité du savoir, la deuxième université de Dakar, l'Université virtuelle du Sénégal et la zone économique spéciale de Diass, etc. La deuxième étape est liée au déploiement du projet de ville numérique sur l'axe Diamniadio-Sébikotane-Diass afin de constituer un pôle urbain dont l'économie numérique sera le principal moteur économique. Enfin, la dernière phase consistera à étendre un réseau national de plateformes numériques, suivant un plan de développement et d'investissements mutualisés portés par les collectivités locales en collaboration avec le ministère en charge des Tic.
A. Diaw
Les fabricants de smartphones ont récemment intégré des capteurs biométriques à leurs appareils, les présentant comme très sûrs. Dans la pratique, il serait facile de tromper le système à l'aide d'une banale photo.
INTERNET - C'est un de ces comptes parodiques qui donnent le sourire en se baladant sur Twitter. Il a été ouvert le 26 décembre, jour pendant lequel l'Elysée a révélé que parmi les cadeaux reçus par François Hollande, figurait un chien. Le chef de l'Etat l'a baptisé Philae du nom du petit robot qui s'est posé sur la comète Tchouri.
Les anciens enfants de troupe notamment ceux de la promotion 1972, se sont retrouvés samedi dernier à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar pour débattre autour du thème : « le numérique, l'innovation et le développement en Afrique ». Le conférencier Samba Sène, ancien directeur général de la Sonatel, a fait un exposé sur l'apport du numérique dans l'économie mondiale dans les années à venir.
« Tous codeurs », c'est le projet que l'ancien directeur général de la Sonatel Samba Sène de réaliser au Sénégal en Afrique. Il a fait cette révélation samedi, lors de la conférence de l'Amicale des anciens enfants de la troupe (Aaet) du Prytanée militaire de Saint Louis, notamment la promotion 1972. La rencontre qui s'est tenue à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar avait pour thème : « Le numérique, l'innovation et le développement en Afrique ». Cette conférence qui s'inscrit dans le cadre d'une série de grandes réflexions sur tous les secteurs est une manière pour l'Aaet d'apporter sa première pierre à l'édifice. Selon Samba, un pays ne peut se développer en mettant de côté les nouvelles technologies de l'information et de la communication (Tic). « C'est grâce au développement du numérique et à l'innovation que naîtront les pépites de demain ».
Expert en télécommunications, le conférencier s'est évertué à démontrer les avantages des Tic. « Nous allons vers une société du savoir et de l'économie du savoir. L'économie du savoir c'est une économie à ressources infinies où chacun pourra produire. Le Cancer qui fait actuellement beaucoup de morts dans le monde sera vaincu en 2030 grâce à la puissance des machines qui seront utilisées pour traiter la maladie », annonce-t-il. Ainsi on parlera de la « défaite du Cancer grâce aux technologies de pointes et aux nouvelles sciences qu'on est en train de développer dans les laboratoires ».
Ainsi, Samba Sène pense qu' « il faut apprendre à coder et connecter les non connectés ». Le numérique dit-il, « c'est lame de fond qui bouleverse tout ». Avec les avancées de la technologie, indique Samba Sène, l'économie numérique dans le monde va atteindre des chiffres pharaoniques dans moins d'une dizaine d'années. « En 2020 l'économie numérique va générer 14 milliards de dollars Us de revenus, soit 30 fois le budget de la Cedeao », pronostique-t-il.
Gaston Mansaly
(Source : L'AS Quotidien, 22 décembre 2014)
Facebook propose à ses utilisateurs de visualiser sur une page intitulée «Year in Review» leurs souvenirs marquants de l'année. Mais marquants ne veut pas dire heureux.
WEB - Son interview «groupie» du chanteur a mis les internautes très mal à l’aise. L'animatrice s'est défendue sur Virgin Radio mercredi soir…
Le LG Fx0 est un smartphone sous Firefox qui a d’abord été annoncé par Mozilla et KDDI Japon la semaine dernière, et LG est le fabricant hardware de ce téléphone. S’il y a quelque chose de spécial à propos du
Le gouvernement du Sénégal ne compte pas laisser la Sonatel et l'observer agir comme elle veut alors qu'il détient des actions dans la société.
C'est le ministre de l'Economie et de Finances Amadou Bâ qui l'a redit vendredi passé à l'Assemblée nationale. Selon ce dernier, la première société de téléphonie au Sénégal doit faire attention. Parce ce que, de l'avis de M Bâ, le Sénégal qui est en position de force négocie avec plus de fermeté. La situation, rapporte la Tribune, était tellement tendue que le Sénégal avait encore envisagé de vendre certaines de ses actions qu'il détient à la Sonatel.
(Source : Setal, 29 décembre 2014)
L'impression de sécurité suscitée par un iPad, par les applications qui évoquent une utilisation maîtrisée est illusoire. Et comme l'enfant trouvera toujours un moyen de contourner les différentes barrières de sécurité, l'établissement d'une relation de confiance demeure essentiel.
INTERNET - Vous ne les avez sans doute pas toutes vues. Toutes les vidéos qui ont usé les compteurs des sites d'hébergement de vidéos et notamment Youtube, qui a d'ailleurs révélé les noms des vidéos les plus virales de cette année 2014.
L'accès à la messagerie du géant de l'informatique américain Google était bloqué lundi en Chine, après des mois de perturbations qui pourraient être liées à la mise en place d'un nouveau pare-feu par les ...
Fin novembre, le réseau social Facebook a annoncé son intention de changer ses conditions d'utilisations, principalement pour permettre un meilleur ciblage publicitaires. Et comme vous ne pourrez pas les refuser -considérant que ceux qui continuent à l'utiliser acceptent de fait la mise à jour- mieux vaut connaître les règles à appliquer pour maîtriser au mieux les nombreuses informations de votre profil.
Après ceux de la Xbox, les services de Sony refonctionnent aussi. L'attaque était survenue au lendemain de la décision de diffuser "L'Interview qui tue !"
Un peu partout dans le monde, des esprits novateurs travaillent à réinventent notre monde. Elon Musk, surnommé le nouveau Steve Jobs, est sur deux fronts à la fois : les fusées et la voiture de sport électrique. Extrait de "Les rebelles du numériques" de Daniel Ichbiah et Jean-Martial Lefranc, aux Editions First Interactive, 2014 (2/2).
Fusils à plasma ou à énergie dirigée, les armes des jeux-vidéos de guerre sont souvent hyper-futuristes. C'est le cas dans "Advanced Warfare", le dernier opus de la franchise "Call of Duty". Des armes de science fiction qui s'inspirent parfois de la recherche et du développement militaires.
La principale source de revenus de Google est la publicité, et notamment celle qui s'adresse à des internautes sur le point de faire des achats en ligne. Or, il apparaît que le nombre de ce type de requêtes sur Google diminue au profit de celles effectuées sur Amazon (qui ont augmenté de 72% cette année). Une compétition qui profite pour le moment aux deux, mais qui pourrait à l'avenir donner des idées pour mettre fin à cette coopétition.
Wiwsport.com est le premier portail web sénégalais entièrement consacré à l'actualité sportive du pays. Avec une mise à jour quotidienne, le site couvre tout le champ sportif sénégalais avec un contenu riche et varié en termes d'actualité, d'analyse, de contenu multimédia et d'interactivité avec es internautes.
Wiwsport.com, traite évidemment de Football et de la Lutte, mais aussi de toutes les autres disciplines sportives du Sénégal : Basket, Handball, Volleyball, Tennis, Rugby, Athlétisme, Arts Martiaux, Natation et sport mécanique. Plus qu'un site d'information, Le portail renferme aussi une énorme base de données des clubs et sportifs sénégalais accessible depuis le web, mais aussi sur mobile.
En effet, Wiwsport, c'est aussi une application mobile téléchargeable sur Androïd et iOS. La version mobile du site permet d'accéder aux dernières actualités sportives grâce à un système d'alerte sur votre téléphone. Vous pouvez, ainsi, accéder aux informations, consulter les vidéos, réagir aux articles et partager vos infos préférées sur les réseaux sociaux.
Avec une audience de plus de 500 000 visiteurs uniques et plus 1,5 million de pages vues par mois, plus de 200 000 fans sur Facebook et plus de 1500 abonnés sur Twitter, Wiwsport.com reste le numéro 1 de l'actualité sportive du Sénégal sur internet.
(Source : Social Net Link, 27 décembre 2014)
Depuis près de trois mois, les protestations des autorités américaines contre le chiffrement par défaut des données dans les smartphones se multiplient. Une bataille perdue d'avance? Tout dépend du terrain sur lequel elle se joue. Une loi vieille de 225 ans pourrait-elle contraindre Apple et Google à rétropédaler en matière de ...
« J'ai dans les yeux les larmes de mon grand père et j'ai dans le ventre la rage et la colère j'ai dans la poitrine des battements de tambours et mes jambes ne pratiquent pas le demi tour une seule route existe à travers ce désert un seul souffle sur terre pour parler ou se taire »
Amazigh Kateb, Ma tribu
Je ne pouvais mieux débuter cette série d'article, que par ce beau chant. En effet, A. Kateb résume assez bien la situation de l'Afrique et comme il le dit si bien, « une seule route existe à travers ce désert », et cette voie est le chemin de l'entreprenariat.
Après donc, cette petite dose d'inspiration je vais m'atteler à la pédante besogne de déterminer le sens de ce terme, puis j'examinerai les entraves à l'entreprenariat ainsi que les raisons qui rendent l'entrepreneur africain réticent à la poursuite d'opportunités avant de conclure en analysant le biome dans lequel il doit évoluer.
Il est en effet très commode d'associer les mots entreprenariat et opportunité car le professeur Howard Stevenson, professeur a la Havard University nous propose la définition suivante : « Entreprendre, c'est poursuivre des opportunités sans se soucier des ressources disponibles », cette définition caractérise parfaitement bien ce que devrait être le« cheetah ».
Ce terme vulgarisé par l'économiste et érudit Ghanéen George Ayitteh signifie guépard en hindou, Le professeur désigne par ce vocable, cette nouvelle génération d'Africains qui veut conquérir l'univers et s'oppose sur tous les plans a la vielle garde.En effet, le professeur Ayitteh catalogue les élites Africaines en deux catégories :
Les « hippopotames »
« L'Afrique s'anime et coule en nous comme un fleuve, ou des chiens s'abreuvent et laissent leurs odeurs ».
Ces chiens par mesure de langage nous préféreront les appeler « hippopotames » que le professeur désigne comme cette espèce d'animal politique ou d'hommes d'affaires africains que nous avons héritées de la colonisation, ces gouvernants voraces sont grassouillets, ventripotent et tiennent d'une main de fer les affaires du continent depuis plus de 50 ans en contrôlant la majorité des richesses.
La tribu des « Cheetahs »
Toutes les personnes qui refusent de marcher au pas se reconnaîtront à travers les descriptions suivantes et appartiennent a la tribu des « cheetahs » que le professeur présente comme cette nouvelle lignée d'entrepreneurs ou d'hommes politiques africains qui ont comme particularité d'être belliqueux et acerbe, Ils sont dépeints comme prodigieux, instruit, non tolérant à la corruption, et sont surtout porteurs de projets a très fort portée, ils créent des PME dans le social, les tic's, l'agrobusiness… Ou veulent bouleverser la marche du continent avec leurs start-up's.
D'Accra à Dakar, ces « serials entrepreneurs » ont pour vision de sortir le continent des griffes de la pauvreté pour le faire passer a l'ère de l'abondance et sont prêts a se battre pour arriver a leurs fins, ils ont les crocs, mettent les mains dans le cambouis et ne se cachent pas de leurs ambitions de milliardaires de demain, très loin devant Dangote et Co.
Cependant si le tableau est séduisant, la mutation n'est pas encore parfaitement accomplie car l'inertie face aux opportunités caractérise encore l'entrepreneur africain qui n'a manifestement pas encore acquis toutes les qualités du félin auquel il s'identifie, il hésite à poursuivre les opportunités qui se présentent à lui, préférant le confort et la sécurité de l'emploi au chaos et à l'incertitude de l'entreprenariat.
« Le tigre ne proclame pas sa tigritude. Il bondit sur sa proie et la dévore »
Cette phrase de Wole Soyinka est un appel à l'action, elle s'applique très bien à notre génération et exhorte le « cheetah » à être batailleur, pugnace, et fourbe face à cet antagoniste, qui meuble les grands buildings de nos capitales.
Je parle bien des « hippopotames », ces politiques ou chefs d'entreprise de l'ère post-coloniale qui défendent férocement leur territoire, ils constituent l'un des plus importants adversaires que doit affronter le « cheetah » sur son périple vers le succès.
Il est donc définitivement temps de reconquérir notre continent, et pour cela le « cheetah » ne doit pas se sentir restreint par l'absence de ressources, mais doit manœuvrer subtilement pour transformer les contraintes en atouts.
En effet, il existe toujours une justification à l'inaction et les entrepreneurs en herbe, ont une propension à penser qu'ils ont besoins de gros capitaux, ou encore de cette grande idée qui va bouleverser le monde, ils vivent « le mythe Google », veulent réinventer la roue quand il suffit souvent de juste la pousser pour savoir dans quel direction elle va rouler.
Ils accordent trop de crédits aux idées, alors qu'elles importent peu, sinon il existerait un marché aux idées, ils ignorent que ce sont les leviers que l'on actionne pour transformer nos idées en opportunités, et ces opportunités en organisations à fort impact qui nous sortiront du dénuement.
En outre, un prétexte à l'oisiveté est l'évocation de la crise économique, alors que c'est pendant les périodes de vaches maigres et de récessions que se découvrent de nouvelles opportunités, car de nouveaux besoins émergent, et la concurrence tergiverse. Pour illustration, le marasme qui sévit en Occident à créer de nouveaux marchés pour le low-cost.
Lorsque le consommateur voit son pouvoir d'achat affaibli et préfère garder son argent, le bon entrepreneur saisi l'aubaine et l'assiste dans ce souhait en lui présentant des alternatives lui faisant économiser ses sous.
En plus de tout cela, le manque de capitaux force à la créativité, au lieu de jeter de l'argent par les fenêtres, l'entrepreneur devient frugal, il met en place des solutions efficaces sans épuiser ses fonds, il bricole.
Un bon exemple de frugalité, a été donné par M. Amadou Moctar Sow, lors de la cérémonie d'ouverture du GEW 2013, il a parlé de la manière par laquelle ils ont économisé 80 millions de FCFA, en bricolant un cylindre qui permettait de faire passer des bouteilles de petites tailles dans une machine qui était pourtant destinée a ne stériliser que de grandes bouteilles, l'astuce était de superposer deux petites bouteilles dans le cylindre, le stérilisateur les considéraient comme une seule grande bouteille et faisait ainsi son travail correctement.
Je ne suis donc, absolument pas d'accord avec ceux qui disent que l'abondance de fonds augmente les chances de réussite d'un entrepreneur et par conséquent, la situation économique et politique du continent n'est pas un indicateur valide des chances de réussites d'une entreprise, puisque L'Afrique vit une instabilité constante depuis la période des indépendances, et en dépit des guerres et des horreurs qui ont accompagné l'histoire du continent, le niveau global de vie ne cesse de s'améliorer et continuera à s'améliorer. La moyenne d'âge en Afrique est de 19 ans, le niveau d'instruction n'a jamais été aussi élevé et tous ces jeunes vont représenter une classe moyenne avec un pouvoir d'achat assez élevé, il est important de saisir les opportunités qui vont se créer grâce à ces nouvelles classes, surtout que la majorité de nos besoins les plus primitifs sont encore mal satisfaits.
Même le cadre familial est une gêne au rayonnement du « cheetah » puisque mes proches à qui je confie mes projets me font des réflexions du type « mais, tu sais bien qu'il faut de l'argent… Ou « tu devrais travailler quelques années, le temps de mettre des sous de côté » ou encore je perçois ce regard inquisiteur dans lequel je lis, « tu es fou ! » et les personnes pour lesquelles j'avais le plus d'estime par rapport à leur niveau intellectuel me déçoivent !Ce sont ces professeurs d'universités, banquiers, ou grands fonctionnaires… Qui vivent encore dans le modèle « école-diplômes-emploi-retraite », ils sont a classé parmi les « hippopotames », même s'ils ne sont pas méchants, ils sont tout à fait ignorant des réalités de notre génération et des enjeux en cours.
La quête d'opportunités inclut donc, un sens d'urgence et de temporalité, une opportunité est fugace et ne languit pas le temps que vous acheviez le business plan que vous rédigez depuis dix ans !
Relativement à l'écosystème dans lequel évolue le « cheetah », et avec le tintamarre autour de l'entreprenariat en Afrique, Il faut » ne jamais confondre action et mouvement » car il y'a beaucoup d'agitation, toutefois nous attendons que tout cela soit formalisé par la mise en place d'un écosystème avec des incubateurs et des ventures capitalists… a cet égard il est important de noter que beaucoup de grandes compagnies ont été incubées lorsqu'elles n'étaient que de petites start-up, une des plus connue est « Y Combinator », qui a donner naissance a plus 500 compagnies dont les plus célèbres sont : Scribd, reddit, Airbnb, Dropbox, Disqus.
J'ajouterai que je n'aime pas trop prendre exemple sur la Sillicon Valley car nous devons faire les choses différemment, je pense que nos incubateurs devraient mettre en avant l'aspect mentorship et formation sans bien sûr exclure le financement, la finalité étant de donner aux porteurs de projet des interlocuteurs à qui soumettre leurs idées.
« Dans ma nuit je prie, j'appelle les esprits, mes cris raisonnent, autour de moi tout est détruit »
C'est donc dans l'écho de ses appels à l'aide, le néant et la précarité que doit évoluer le « Cheetah », il fait face à d'innombrables défis et doit s'adapter à un environnement chaotique, des infrastructures insuffisantes, des marchés souvent imprévisibles, et la pandémie de la corruption. Pour triompher de cette hostilité, il doit être bien préparé en baignant constamment dans un écosystème qui stimule sa créativité et sa combativité.
Hélas, nul d'entre nous n'a été préparé à affronter la désillusion du milieu professionnel et la transition vers l'auto-emploi.
A suivre…
(Source : Rants of a lost Cheetah, 18 décembre 2014)
Si vous êtes sur Facebook, sans doute avez-vous aperçu ces derniers jours des «rétrospectives de l'année» sur les murs de vos amis. Peut-être vous êtes vus proposer par le réseau social de mettre en ligne la vôtre. Un post de blog d'un utilisateur américain, Eric Meyer, vient nous rappeler que, ...
Il n'y a pas que des armes ou des substances illicites qui peuvent s'acheter dans les "zones d'ombres" d'internet, il existe aussi des données identitaires ou bancaires qui se revendent à prix d'or. Un marché noir 2.0 pour lequel les élus n'ont que très peu de connaissances et la police trop peu de moyens pour y faire face.
Ubergizmo a choisi les articles les plus intéressants de la semaine : le smartphone sous Firefox OS de LG, une révélation inattendue sur les e-books readers, une prothèse auditive next-generation...
Ubergizmo a choisi les 5 articles les plus intéressants de la semaine. Le smartphone sous Firefox OS de LG, une révélation inattendue sur les e-books readers, une prothèse auditive next-generation, un haut-parleur haut ge gamme de BenQ, et un rétroviseur
La 40ème édition de la FIDAK, qui accueille le Nigéria en tant qu'invité d'honneur, est également marquée par la première participation de Kaymu.sn : leader de la vente et de l'achat sur internet dans les pays émergents d'Afrique.
Présent sur le territoire depuis Mars 2014, Kaymu.sn a posé ses quartiers à quelques lieux du pavillon brun du CICES auprès de trois autres entreprises du secteur e-commerce, dont HelloFood, Jovago et Carmudi, toutes soutenues par Africa Internet Group (AIG).
L'occasion est saisie pour se rapprocher des acteurs du commerce et des consommateurs sénégalais, dont les habitudes de consommation ont été fortement bouleversées par l'arrivé des e-services sur le territoire Sénégalais. Faire ses achats sur internet a été la grande tendance de consommation des populations connectées durant l'année écoulée, même si l'idée reçue de la nécessité d'utilisation d'une carte bancaire, pour effectuer ses achats, subsiste.
L'occasion est donc bien choisie par les représentants de la plateforme pour rassurer les visiteurs de la FIDAK qui pourront entre autre, découvrir les fonctionnalités de Kaymu.sn et de son l'application mobile ou être guidé dans la création d'un compte utilisateur.
Hilda Latzoo, Responsable Communication et Relations Publiques
Kaymu.sn
hilda.latzoo@kaymu.com
76 644 31 53
(Source : Kaymu, 26 décembre 20114)
L'Université virtuelle du Sénégal (Uvs) a organisé, hier, une séance d'information et d'orientation pour ses étudiants. Ces derniers ont eu droit à toutes les explications sur le statut, l'organisation, le mode fonctionnement de l'Uvs, le déroulement des cours et des évaluations.
Les nouveaux étudiants inscrits à l'Université virtuelle du Sénégal (Uvs) ont eu droit, hier, à une séance d'information et d'orientation. Pendant presque deux tours d'horloge, les responsables de l'Uvs ont expliqué les raisons de la création de l'institution, son statut, les filières qui y sont dispensées, l'organisation des enseignements et des évaluations. Selon Omar Mbodji, directeur de la formation de l'Uvs, le gouvernement, constatant le développement des technologies de l'information et de la communication, a décidé de les mettre au cœur de l'enseignement supérieur. C'est dans ce cadre que fut créée l'Uvs qui utilise les Tic. Il a rappelé que cette structure est une université publique de plein exercice et jouit du même statut que les autres établissements universitaires publics comme l'Ucad, l'Ugb, etc. « L'Uvs est qualifiée de virtuelle tout simplement parce que les modalités de livraison des cours ainsi que les interactions entre étudiants et enseignants font appel aux nouvelles technologies, en particulier à des techniques liées au virtuel et à Internet », a expliqué M. Mbodji face à un public composé en majorité d'étudiants et de parents d'élèves.
Se voulant plus précis, il a expliqué que les enseignants et les étudiants ne sont pas virtuels, tout comme les enseignements et les évaluations, ajoutant que toutes les formations proposées par l'Uvs seront déroulées conformément au principe du système Lmd. Les enseignements, a renchéri Omar Mbodji, se dérouleront en présentiel dans les Espaces numériques ouverts (Eno) ou dans tout autre lieu ou espace, ou encore en distance, à travers la plateforme pédagogique de l'Uvs. A l'en croire, actuellement, 12 Eno ont été créés. Il a souligné que l'ambition du gouvernement est de créer dans chaque département un Eno. « Le démarrage des cours est prévu le 19 janvier prochain. Cette année, on ne connaitra pas les mêmes problèmes puisque les ordinateurs ont déjà été réservés », a tenté de rassurer le directeur de la formation aux 5.000 étudiants qui ont été orientés, cette année, à l'Uvs.
Awa Doucouré, chargée de la coopération et tutrice à l'Uvs, a indiqué aux étudiants le contenu de la plateforme de formation. « A l'Uvs, l'étudiant est suivi par toute une équipe (enseignant, tuteur). Il y a un réel suivi. En temps réel, nous pouvons savoir ce que fait chaque étudiant », a-t-elle affirmé. « Au début, c'était difficile. Maintenant, ça va. J'ai effectué toutes les formalités d'inscription et j'attends le démarrage des cours », a confié Mbissane Sembène, étudiant en première année à l'Uvs. Il s'est félicité des explications données par les responsables de cette université.
Aliou Kandé
(Source : Le Soleil, 23 décembre 2014)
« Le numérique, la croissance et le développement », est le thème de la conférence organisée, samedi, par le Groupe de recherches et d'études pour la démocratie et le développement durable en Afrique (Gredda). Une occasion, pour les différents intervenants, de plaider pour une meilleure exploitation des potentialités du numérique.
Développer et exploiter les potentialités du numérique au profit de l'économie, c'est le principal défi auquel le Groupe de recherches et d'études pour la démocratie et le développement durable en Afrique (Gredda) exhorte les Etats africains particulièrement. Pour le président de cette organisation et directeur général du Port autonome de Dakar (Pad), Cheikh Kanté, il est essentiel de bâtir un nouveau modèle économique basé sur le numérique qu'il considère comme une opportunité pour générer la croissance. M. Kanté intervenait, samedi, lors d'une conférence sur le thème : « le numérique, la croissance et le développement", organisée par le Gredda. Le numérique, est, selon le directeur général du Pad, une véritable révolution qui doit profiter à tous les secteurs. « La révolution du numérique est en marche notamment grâce aux télécommunications », a soutenu M. Kanté. Ce dernier est persuadé que la croissance de demain repose sur le développement du numérique.
Le Sénégal s'est déjà inscrit dans cette dynamique, à en croire, le directeur général de l'Autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp), Abdou Karim Sall, qui a exhorté les entreprises sénégalaises du secteur des Technologies de l'information et de la communication (Tic) à l'innovation. « Cette innovation doit procéder d'une démarche partant de nos propres réalités et besoins en terme de consommation de services pour offrir aux consommateurs des services adaptés », a soutenu M. Sall. Ce dernier reconnaît, toutefois, que de nouvelles infrastructures sont nécessaires pour asseoir un développement du numérique et aller vers le haut débit.
A. Mbodj
(Source : Le Soleil, 24 décembre 2014)
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